Quatorze

Quatorze

SHOUD 4 -Série ILLUMINATION - Adamus de Saint Germain, canalisé par Geoffrey Hoppe, le 06 Janvier 2024

 

 

ADAMUS SAINT GERMAIN

 

 

LES MATERIAUX DU CRIMSON CIRCLE

 

Série: ILLUMINATION

 

SHOUD 4

 

Adamus Saint Germain, canalisé par Geoffrey Hoppe, assisté par Linda Hoppe,

 

Présenté au Crimson Circle le 06 Janvier 2024

 

www.crimsoncircle.com

 

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NOTE IMPORTANTE: Ces informations ne vous concernent probablement pas, à moins que vous ne preniez l'entière responsabilité de votre vie et de vos créations.

 

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Pour profiter pleinement de toutes les énergies, Vous pouvez visionner en Anglais, la vidéo du  SHOUD 4 ou simplement l’écouter, tout en lisant l’Interprétation ci-dessous.

 

 

 

 

 

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Respiration d’Introduction de Linda

 

 

1

 

A nouveau, Bienvenue !

 

Nous espérons que vous êtes prêts pour le Shoud maintenant, prêts pour Adamus !

 

2

 

 

Geoff, est maintenant en place et se prépare pour Adamus.

 

Donc, comme toujours, nous avons ce beau public ici.

 

Et vous, ici (montrant la caméra) du monde entier. Nous pouvons sentir ces étincelles de lumière partout où vous êtes. Oh merci d'avoir irradié votre lumière.

 

4

 

Alors, sur ce, prenons cette bonne respiration consciente et profonde, ce beau Souffle de Vie.

 

Respirez en vous, faites circuler, ressentez l'air, ressentez votre corps et les énergies.

 

3

 

Prenez cette bonne et profonde respiration. Tout cela est votre énergie.

 

Permettez-ceci. Laissez couler. Respirez et honorez-vous.

 

Prenez cette bonne et profonde respiration de vie.

 

6

 

Respirez.

 

Respirez avec Tout ce que Vous Etes.

 

Respirez avec Présence.

 

9

 

Prenez cette bonne respiration profonde, en vous ouvrant aux potentiels les plus élevés.

 

Respirez et laissez circuler.

 

Restez avec cette bonne respiration profonde.

 

10

 

Permettons-nous de laisser circuler alors que nous avançons.

 

Écoutez votre âme qui vous appelle… et respirez !

 

 

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ADAMUS DE SAINT GERMAIN

 

 

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Je suis ce que je suis, Adamus du Domaine Souverain.

 

Bienvenue, chers Shaumbra. Bienvenue à tous ceux qui sont ici. Bienvenue à tous ceux qui sont en ligne.

 

Nous voici en 2024. 2024 – Je vais faire quelques prédictions d’emblée. Ce sera la plus grande année de tous les temps. C'est assez facile à dire car chaque année, cela prend un peu plus d'ampleur, mais cette année va être vraiment grande – vraiment grande – et je veux que vous soyez prêts pour cela. Le monde va devenir plus fou que jamais.

 

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Des forces vont s'abattre sur vous de tous les côtés. De tous les côtés. Il sera très facile de se laisser prendre dans le drame, dans les énergies bloquées, dans la colère, dans les changements et les mutations.

 

Oh, c'est une belle planète, des humains merveilleux, mais ils traversent beaucoup de choses en ce moment. Vous, l'humanité, êtes en bonne voie pour devenir la prochaine espèce humaine, une évolution qui se déroule à une vitesse époustouflante.

 

Nous allons parler aujourd'hui de la façon dont la planète va/évolue dans un sens, et de la façon dont vous allez, espérons-le, évoluer dans un sens un peu différent, et ce n'est pas si difficile. Ce n'est vraiment pas si difficile. 

 

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Cela demande un peu de permission, un peu de respiration et quelques autres choses dont nous allons discuter aujourd'hui, mais pour le moment, prenons une profonde inspiration en 2024. Je suis heureux que vous ayez réussi. Heureux que vous soyez là.

 

Vous savez, nous en avons certains au Club des Maîtres Ascensionnés, et d'autres qui ne sont pas allés aussi loin, regrettant en quelque sorte de ne pas être restés. Des Shaumbra qui ne sont pas restés. Ils regrettent de ne pas être ici, sur ces chaises, de ne pas faire partie de ce groupe. Et oui, c'est vraiment fou parfois, et vous vous demandez si vous pouvez le supporter/ le gérer. Mais croyez-les, ils disent, oh, qu’ils auraient vraiment aimé être ici, avoir tenu le coup et participer à ce que nous allons faire.

 

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2024, Année du Dragon. Cela devrait vous dire quelque chose/ vous mettre la puce à l'oreille sur-le-champ. Je veux dire, c'est pour la planète. Ce n'est pas votre dragon. Vous avez votre propre dragon avec lequel vous devez composer, et j'espère que vous avez découvert que ce dragon, ce magnifique dragon, n'est pas là pour vous déchirer. Il est là pour vous servir. Il est là pour faire remonter les vieilles saletés. Oui, et il y en a des couches et des couches, mais il est là pour vous aider et il peut devenir votre meilleur ami. En fait, le vrai Merlin – le vrai Merlin – c'est comme si le dragon était son petit chien, avec lui tout le temps, avec elle tout le temps. Le dragon est une chose merveilleuse. C'est donc l'année du dragon dans le calendrier chinois.

 

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L'Année de l'IA (pour l'humanité)

 

 

Pour la planète, je vais aussi l'appeler l'année de l'IA, l'année de l'Intelligence Artificielle.

Vous savez, l’intelligence artificielle a une histoire plutôt intéressante. Oh, cela existe depuis à peu près aussi longtemps que les ordinateurs existent, c'est-à-dire depuis 50, 60 ou 70 ans. Et au début, l’intelligence artificielle était considérée comme une blague de science-fiction, une vraie blague. Certains l'ont étudiée, y ont travaillé, ont fait des recherches, mais ils ont été en quelque sorte laissés dans les coulisses du monde universitaire, pensant que c'était une bande de cinglés parlant d'intelligence artificielle, de robots et d’ordinateurs dotés de capacités super, super, super anormales.

 

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Cela a été considéré comme une sorte de blague. Ce n’est vraiment qu’au cours des 10 ou 15 dernières années qu’il a été très difficile pour les chercheurs d’obtenir des financements pour leurs projets d’IA. L'IA était considérée comme une sorte de rêve. Ce n'est qu'au cours des deux dernières années qu'ils ont commencé à réaliser qu'il ne s'agissait pas d'une plaisanterie. C'est bien réel, et particulièrement en ce qui concerne la loi de Moore – cette loi qui dit que la vitesse de l'informatique doublera chaque année, en réalité 18 mois ; et que le prix baissera de moitié chaque année – à mesure que tout cela se produisait, ils ont commencé à réaliser qu'il y avait vraiment quelque chose là.

 

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Il y a environ un an, il y a un peu plus d'un an, ce nouveau phénomène est apparu, ChatGPT. Vous en avez probablement entendu parler. Vous avez probablement communiqué avec lui : « ChatGPT, dis-moi à quel point je suis merveilleux » (Adamus rit), et joué un peu avec. Je sais que beaucoup de Shaumbra l'ont fait. C'est fascinant. Personne – presque personne – n’avait prédit que ce type d’IA serait disponible ici aujourd’hui. Ils parlaient de cinq ou dix ans dans le futur, et soudain, il y a un peu plus d'un an, c'est sorti, et en très peu de temps, 100 millions d'abonnés, je veux dire, en l'espace de quelques mois. C'est sans précédent. Nous sommes désormais officiellement entrés dans l’ère de l’IA, l’année de l’IA pour la planète. Oui, cela existe depuis un peu plus longtemps que ça, mais c'est là que ça prend vraiment le dessus /qu'elle s'installe vraiment. C’est là que vous allez entendre parler de l’IA ad nauseam, tout le temps.

 

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Cauldre a écrit un article à ce sujet, expliquant comment l'IA sera présente dans tout.  Par exemple, nous pourrions maintenant dire qu'il s'agit d’une webdiffusion améliorée par l’IA. Ce n’est pas vraiment de l’IA, mais nous pourrions le dire. Mais vous allez la trouver partout. La chose que Crash tient entre ses mains en ce moment. Qu'est-ce que c'est? Est-ce une caméra ? Est-ce une petite boîte ? Est-ce que c'est...

 

CRASH : Tout.

 

ADAMUS : C'est tout, et il le tient dans sa main. Sans parler qu’il a abandonné ce grand appareil photo coûteux pour cette petite chose qui, non seulement prend des photos, mais joue de la musique et correspond avec n'importe qui dans le monde en un instant, et tout ce qui se trouve entre les deux.

 

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Donc, pour cette planète, l’année de l’IA est probablement la plus grande tendance de toutes. Nous en parlerons un peu plus en détail dans ProGnost , mais l'IA est omniprésente. Et c'est une bonne chose. La planète avance à un rythme très rapide. Cela va être difficile à suivre pour certains. Pour en revenir à l'article de Cauldre dans le magazine Shaumbra, ne vous laissez pas distraire par les miroirs brillants, les sifflets et les cloches concernant l'IA. Elle n'est pas seulement présente dans les produits que vous allez acheter - ou dont on dit qu'il s'agit d'IA. Ce qui se passe actuellement avec l’IA aux niveaux les plus profonds, aux niveaux les plus profonds dans le monde entier, c’est que les gouvernements, les entreprises et tous les autres acteurs changent soudainement d’orientation.

 

Supposons que vous soyez parti avant octobre 2022, avant ChatGPT. L’IA progressait, les entreprises en parlaient en quelque sorte. C’était un discours plus cool : « Hé, nous devons vraiment nous pencher sur cette histoire d’IA et peut-être l’incorporer. » Lorsque ChatGPT est apparu, de nombreuses entreprises, gouvernements et organisations se sont soudainement arrêtés, ont pris la mesure de la situation et se sont dit: «Il faut s'y mettre tout de suite, tout de suite », parce que c'est un marché concurrentiel. Vous devez disposer de l'IA pour comprendre rapidement votre client, pour développer de nouveaux produits, pour rivaliser avec les autres. Si vous n'êtes pas dans l'IA, vous êtes hors-jeu, en fait, dans de très nombreux secteurs d'activité.

 

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En fait, j’ai prévenu le Crimson Circle il y a presque quatre ans maintenant. J'ai dit : « Rassemblez vos affaires, y compris la technologie », ce qu'ils ont fait, et l'IA est déjà incorporée dans les choses et continuera de l'être. Mais c'est la direction que prend la planète. Ce n'est pas de la science-fiction. Ce n'est plus un conte de fées. Ce n'est pas quelque chose de futuriste. C'est ici même.

 

Je sais que certains d'entre vous n'aiment pas ça. Vous dites : « Eh bien, nous sommes ici pour être de saints Maîtres spirituels » ou autre chose. Oui, mais vous comprendrez mieux. Vous comprendrez mieux les capacités de l’IA et ce qui se passe réellement. Elle va améliorer pratiquement tous les aspects de la vie, de l'éducation à la médecine en passant par le droit. Elle va faciliter la vie à bien des égards, mais il y a cet élément de l'IA qui est effrayant. C'est effrayant.

 

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J'ai récemment relu mon livre, Time of Machines (Le Temps des Machines). En fait, je n'avais pas de livre et je ne l'ai pas lu, je me suis simplement intégré à celui-ci. Dans ce livre, j’ai voyagé dans le futur, du XVIIIe siècle jusqu'à aujourd'hui, précisément jusqu'en 2020, et j'ai été stupéfait. Tout le monde se promenait avec, eh bien, cette chose que Crash tient dans sa main, avec ce que j'ai appelé vos lunettes, votre – ce n'est même plus un téléphone portable, comment les appelez-vous ? – des appareils, des smartphones, peu importe. Tout le monde se promène en regardant dans ses lunettes. Au début, je ne comprenais pas ce qu'ils regardaient. Et puis j’ai réalisé que c’était un dispositif de connexion, permettant de se connecter à n'importe quoi.

 

Et en revisitant en quelque sorte mon livre, je me suis rendu compte que cela causait aussi beaucoup de perturbations. Cela présente de nombreux avantages. Je veux dire, je regardais les gens utiliser leur téléphone, j'avais voyagé dans le temps, je les regardais utiliser leurs appareils, et ils avaient des petites choses dans l'oreille et ils écoutaient de la musique, de la musique de merde, mais ils écoutaient de la musique. J’ai été étonné de ce que cela pouvait faire et j'ai réfléchi à ce que l'avenir nous réservait.

 

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Si ce n’était pas équilibré et que c’était confié /mis entre les mains d'humains relativement inconscients, cela pourrait être désastreux pour la planète. Absolument désastreux, parce que celui qui développe la première – ce qu’on appelle désormais – la super IA, mais qui est en quelque sorte le gros chien de l’IA, remporte la partie. Il contrôle tout.

 

J'ai également réalisé à ce moment-là dans le livre que l'IA ne serait pas possible, que la technologie ne serait pas possible, s'il n'y avait pas la conscience en premier lieu. Elle ne serait pas là. Ils doivent donc fonctionner ensemble. La technologie n’ira pas beaucoup plus loin si la conscience ne grandit pas/ ne se développe et ne s’étend pas sur la planète. La technologie adoptera une approche consciente s’il y a suffisamment de lumière sur la planète.

 

Et ce livre était en quelque sorte un livre fondateur. C’était un livre important parce qu'il disait essentiellement que l’humanité traverse cet énorme changement et que ce dont la planète a besoin en ce moment, c’est de la lumière. Pas d’une manière effrayante, d’une manière joyeuse, d'une bonne manière, mais c’est absolument nécessaire.

 

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Dans le livre, il y a une partie où je dialogue avec quelqu'un qui me dit: « Eh bien, pourquoi vous, les êtres angéliques, n'infusez-vous pas toute votre lumière ici ? Pourquoi ne vous asseyez-vous pas là-haut et ne nous éclairez-vous pas ?» Et c'est comme si, eh bien, nous faisons tout ce que nous pouvons, mais vous devez être sur le terrain. Vous devez être de ce côté de ce qui était appelé le voile pour l'ancrer, l'intégrer, le vivre et le faire rayonner à partir d'ici. Briller à partir de là-bas, hein, c'est bien, mais il faut être ici.

 

C'est l'année de l'IA. Il existe désormais des centaines d’entreprises impliquées dans des activités similaires à celles de ChatGPT. Cela n’inclut même pas les applications de l’IA dans l’art, l’ingénierie, dans tous ces différents domaines, y compris des domaines comme l’armée, la finance, le contrôle gouvernemental, tout le reste.  Tout dépend de la façon dont vous voulez voir les choses. Cela pourrait être extrêmement effrayant, très, très fragile avec ce qui peut être fait avec l'IA. Cette année va être un tournant pour cela. Cela va déterminer à peu près dans quelle direction et à quelle vitesse elle se dirigera.

 

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Donc, mis à part ce que vous entendez dans le marketing ou en lisant des articles ou des choses comme ça sur l’IA, c’est une année absolument importante. Elle va déterminer la vitesse et la direction de cet outil très, très, très puissant, qui pourrait également être utilisé pour servir l’humanité de bien des manières. Votre présence sur cette planète en ce moment est essentielle, et vous n’avez pas grand-chose à faire. Il vous suffit d’en être conscient et de laisser briller votre lumière. C'est un thème constant que je veux continuer à vous répéter. Vous êtes ici pour une raison. Il ne s’agit même plus de votre Réalisation. Je veux dire, vous êtes réalisé.  Réalisez simplement que vous l'êtes et poursuivons ce que nous sommes venus faire sur la planète. C'est l'année de l'intelligence artificielle, et vous allez l'entendre encore et encore. Il ne se passera pas un jour sans que vous entendiez parler de l'IA, que ce soit dans l'actualité, dans les discussions avec d'autres sur Internet, peu importe. C'est un phénomène de grande ampleur. C'est très, très gros.

 

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Il suffit de regarder les sommes actuellement investies dans la recherche et le développement en IA. Vous voyez, il s'agit d'une véritable ruée sur les terres, d'une ruée sur les terres, parce qu'il existe un territoire très ouvert appelé technologie de l'IA. Tout le monde veut en prendre sa part maintenant. Ce sera trop tard dans deux ou trois ans. Prenez votre part du gâteau. Trouvez votre niche sur ce marché. Trouvez votre excellence dans une certaine partie de celui-ci. Saisissez-le et tenez-le. Des milliards et des milliards et des milliards et des milliards de dollars sont actuellement investis dans l’IA.

Les entreprises perdent d'énormes sommes d'argent, mais elles s'en moquent, parce qu'en fin de compte, il s'agit de jalonner ce terrain qui est votre domaine, votre zone. Ensuite, vous pourrez gagner beaucoup d’argent avec cela.

 

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Mais c'est l'année de l'IA pour la planète, et Cauldre me donne du fil à retordre. Il dit : « Oh, vous avez l'air si effrayant. » Non, ce n'est pas du tout pour faire peur. C'est un outil extraordinaire/incroyable. Nous allons assister à une évolution de l’espèce humaine qui ne sera peut-être même pas biologique dans 50 ans. Peut-être qu'il n'y aura plus de biologie ou qu'il y aura juste assez de biologie pour que vous soyez heureux. Mais tout se passe sous nos yeux.

 

Je suis choqué et étonné par le nombre d'humains qui ne comprennent vraiment pas. Je suppose que beaucoup d’entre eux dorment au volant. Ils en entendent parler et ils sont ravis d’avoir une nouvelle automobile ou un réfrigérateur amélioré par l’IA. Mais de quoi s'agit-il d'ailleurs? Je veux dire, le réfrigérateur est-il plus intelligent que vous? Je ne comprends pas. Mais ils ignorent /ils sont inconscients de ce qui se passe réellement. Je veux dire que si vous vous élevez au-dessus de tout ce bruit et que vous regardez en arrière ce qui se passe sur la planète en ce moment, c'est un grand et très clair « Wow ! » Vous n'avez pas besoin d'être titulaire d'un doctorat en sciences pour le comprendre. C'est un énorme « Wow »  avec une technologie qui affecte presque tout dans la vie. Vous n’avez pas besoin de savoir comment fonctionne la technologie. Vous n'avez pas besoin de connaître tous vos bits et octets et tout le reste.

 

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Il vous suffit d'être conscient qu'il s'agit d'une nouvelle conception énergétique qui se produit sur la planète, et que vous êtes en plein milieu de celle-ci. Je veux dire, pas coincés dedans, mais vous êtes ici, en ce moment, en train d'en être les témoins.

 

La dernière fois que nous avons eu quelque chose d'aussi grand, c'était Jésus parcourant la planète (quelques rires). Je ne plaisante pas. Vous savez, les choses ont été plutôt lentes jusqu'à présent. Mais maintenant, ça s'accélère. C'est à la fois excitant et amusant de rêver au potentiel, aux possibilités, que cela offre pour aider les humains, ne serait-ce qu'au niveau de la santé. Juste au niveau de la commodité. Tout est possible et vous êtes en plein dedans.

 

Je proclame donc que c’est l’année de l’IA pour tout le monde, pour le reste de l’humanité. Pour les Shaumbra, et les Shaumbra uniquement, c'est l'année de… (quelqu'un dit « Amour ») la gravité. L'amour aussi, j'y reviendrai dans un instant. C'est comme : « Oui, je veux de l'amour ! » Eh bien, nous allons commencer par la gravité, et nous en parlerons aujourd'hui.

 

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L'Année de la Gravité (pour les Shaumbra)

 

C'est l'année de la gravité parce que la gravité que vous avez connue – vous savez, la gravité physique qui retient les choses – est tellement mal comprise. Nous allons aborder la physique – nous en avons déjà parlé à Keahak, lors de certains de nos ateliers et rassemblements également – ​​ mais elle est tellement mal comprise et elle a tant de potentiel. La gravité est la seule chose qui peut facilement fournir de l'énergie gratuite à cette planète. Facilement. Assez d’éoliennes et assez de panneaux solaires, qui sont au mieux marginaux en termes de capacité à fournir de l’énergie gratuite. Mais la gravité, elle peut le faire. C'est facile.

 

La gravité est tellement mal comprise par les physiciens à l'heure actuelle, et je ne sais pas pourquoi – je sais pourquoi, mais je suis taquin– pourquoi ils ne regardent pas les potentiels de la gravité, pourquoi ils l'ignorent complètement. Ils sont plus préoccupés par des choses comme le temps et l’espace, ce genre de choses et d’autres dimensions. Cela commence par la gravité. Mais la raison pour laquelle ils ne le regardent pas, c'est parce qu'ils sont retenus par la gravité (Linda rit). Sérieusement. Ils ne le regardent pas parce qu’ils sont tellement confinés par elle qu’ils ne la voient même pas.

 

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Nous allons faire de cette année, l'année de la gravité et du dépassement pour les Shaumbra. La gravité et au-delà. C’est l’un des designs énergétiques les plus beaux et les plus élégants qui soient. Vous ne le penseriez pas si vous laissez tomber un marteau sur votre pied. Je veux dire, ça fait mal, et vous diriez de très gros mots, mais il y a l'autre côté de la gravité. Il y a, tout d’abord, la gravité non physique, mais il y a l’autre côté qui ne lie tout simplement pas les choses mais qui les crée. La gravité est l'un des meilleurs /des plus grands outils du créateur, et nous allons y revenir. 

 

C'est l'année de la gravité. Vous allez en avoir marre que je prononce le mot « gravité ». Je vais donc trouver un autre mot. Mais ça tient le coup. Et pour répondre à votre question, c'est l'année de l'amour. Si nous apprenons à transcender la nature limitée de la gravité telle qu'elle est comprise sur la planète aujourd'hui, si nous apprenons à transcender cela, alors nous entrerons dans le véritable Amour 2.0, le prochain niveau de l'amour. Mais vous ne pourrez pas le faire si vous êtes pris dans ces sables mouvants gravitationnels, cette chambre de compression gravitationnelle.

 

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Donc pour le reste du monde, c'est l'Année du Dragon, autrement dit, les choses vont être très perturbées. C'est l'année de l'IA qui est à l'origine de la plupart des perturbations. Ne vous laissez pas emporter par l'actualité. Soyez-en conscients, mais ne vous laissez pas emporter /piéger par le côté dramatique de la situation. L’ensemble de l’industrie de l’information à travers le monde doit prendre SES (un atelier sur les Énergies Sexuelles) (rires). C’est vraiment le cas, parce que l’actualité tourne soit vers le lavage de cerveau de quelqu’un – vous savez, cela dépend du type de pays dans lequel vous vivez – soit de vendre du drame. Vendre du drame. Et il n'y a vraiment pas beaucoup d'informations dans les informations, si vous les écoutez vraiment, et elles sont souvent déformées. Mais cela vise à susciter une réaction, une émotion, généralement de la peur. Généralement de la peur.

 

La planète va donc connaître de nombreux drames cette année. Nous allons prendre une direction différente. Ils se concentrent sur l'IA et sur les autres problèmes auxquels la planète est confrontée, comme le passage du dragon. Nous allons prendre une direction un peu différente. Nous allons parler de gravité et finalement d'amour. Cela me semble être une très bonne année. Cela semble être une très bonne année.

 

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Prenons une bonne respiration profonde avec ça. Un tout autre type d'année pour les Shaumbra.

 

Une bonne respiration profonde.

 

Et, encore une fois, rappelez-vous que vous avez choisi d’être ici en ce moment. N'est-ce pas amusant ? (quelqu'un dit "Oui" et quelques rires) Un « oui », et tous les autres m’ont fait un doigt d'honneur. Vous ne pouvez pas le voir sur la caméra, mais c’est vraiment le cas. Nous devons juste surmonter quelques points, et ce n’est vraiment pas si difficile. J'ai passé beaucoup de temps dans ma bibliothèque privée du Club des Maîtres Ascensionnés à étudier tout cela. J'ai regardé l'après-Croix du Ciel.

 

Vous savez, la Croix du Ciel, le 22 mars de l'année dernière, il y a presque un an. La Croix du Ciel, tout le travail que les Travailleurs du Royaume ont accompli au fil des âges, mais particulièrement au cours des dernières décennies, pour préparer cette ouverture qui rendrait la lumière, votre divinité, beaucoup plus accessible, particulièrement ici dans ce royaume. Ouvrir les voies pour le rendre beaucoup, beaucoup plus accessible. Et puis quoi ? Et puis quoi ? Beaucoup d’entre vous ne sont pas vraiment satisfaits des résultats obtenus jusqu’à présent, et je les ai examinés attentivement.

 

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Quel est le problème? Vous avez eu cette grande ouverture et elle ne s'est pas refermée.  Elle est toujours là. C'est toujours accessible. Vous avez tout ce potentiel pour amener /pour faire entrer la lumière, la conscience, quel que soit le nom que vous voulez lui donner. Et j’ai réalisé qu’il y avait quelque chose qui provoquait réellement ce manque de capacité à mettre cela en application dans votre vie.  La théorie est excellente, elle semble merveilleuse, nous nous sommes tous amusés à en parler l'année dernière – la Croix du Ciel, l'Apocalypse commence et vous allez avoir beaucoup plus accès à la lumière – et puis cela s'est en quelque sorte évanoui. C'est un peu tombé à plat. Hm.

 

Je l'ai examiné très attentivement. J'ai consulté certains des autres membres du Conseil Crimson. Kuthumi, Tobias, nous avons eu de longues discussions à ce sujet, et puis cela a été comme un de ces moments. Maintenant, je sais que certains d'entre vous pensent : « Eh bien, vous êtes un Maître Ascensionné. Vous êtes censé tout savoir. » Nous ne savons pas tout. Nous ne voulons pas tout savoir. Pouvez-vous imaginer le fardeau, je veux dire, si vous saviez tout maintenant ? Pouvez-vous imaginer? Ce serait horrible. Nous savons ce que nous avons besoin de savoir, ce que nous voulons savoir sur le moment. C'est tout. Ce n'est pas comme si nous savions tout sur tout le monde et tout ce qui a déjà été fait. Pouah! Ce ne serait pas très amusant. Nous savons ce que nous avons besoin de savoir au moment où nous en avons besoin. C'est tout.

 

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Quoi qu'il en soit, nous avons examiné la situation et nous nous sommes dit : « Que se passe-t-il réellement là-bas ? Pourquoi y a-t-il un tel défi ? Quelle est cette malédiction des Shaumbra ? Nous en avons parlé le mois dernier. Nous avons dit qu'une partie de la malédiction réside simplement dans le fait de ne pas se sentir prêt ou digne. Mais pourquoi, pourquoi, pourquoi ? Pourquoi? Je veux dire, parce que vous voulez être prêts, n'est-ce pas ? Quelqu'un ne veut pas être prêt ? (Adamus rit) N'allumez pas les lumières. Je ne veux pas voir. Bien. Mais c'est un manque de valeur/d’estime de soi ou un manque de conscience. Quelle est la cause de tout cela ? Ce n'est pas une conspiration.

 

Les complots sont drôles. Les complots signifieraient que quelqu'un devrait se soucier de vous (Adamus rit), et ce n'est vraiment pas le cas. Vous savez, ils ne vous suivent pas partout. Il n’y a pas de petits hommes dans de petits vaisseaux spatiaux qui tentent de s’emparer de votre corps. Au fait, c'est une sorte de jeu d'ego. Mais bon, revenons à nos moutons.

 

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Il n’y a pas de grand complot contre vous. Nous l’avons regardé et avons dit : « Mais que se passe-t-il ? C'est juste là. Nous pouvons le voir. C'est dans l'air autour de vous. C'est dans votre corps. Il y a tout autour de vous, toutes les applications pratiques de la Croix du Ciel dans votre vie, la lumière dans votre vie. Cela n'aurait pas pu vous être offert sur un meilleur plateau d'argent, apporté par les Travailleurs du Royaume et les Maîtres Ascensionnés. C'est juste là. Que se passe-t-il? Eh bien, nous avons eu beaucoup de discussions et nous avons finalement réalisé qu'il s'agissait de cette petite chose ancienne, cette chose qui n'est parfois même pas sur votre radar et qui s'appelle la gravité.

 

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La Gravité

 

La gravité a été plus forte que ce à quoi chacun d’entre nous aurait pu s’attendre. La gravité s'est accumulée pendant des éons de temps. Elle s'est solidifiée. Elle a retenu les choses, et beaucoup d’entre vous veulent vraiment s'en libérer. Vous voulez vraiment vous ouvrir. J'examine vraiment vos énergies et c'est comme si certains d'entre vous, oui, vous êtes un peu nerveux à l'idée d'être prêts pour cela, mais il y a cette voix plus grande en vous qui dit : « Bon sang, ouais ! Apportez-le maintenant. » Qu'est-ce qui les retient ? La gravité. La gravité.

 

Eh bien, c'est bien, parce que c'est une question plus facile à gérer que de très gros problèmes émotionnels comme un manque de valeur/ de dignité ou quoi que ce soit d'autre. La gravité, on peut la gérer. Ce n'est pas un gros problème. Nous allons le faire aujourd'hui. Avec votre aide, nous allons briser cette barrière gravitationnelle.

Alors, une question pour vous. Linda au micro et vous tous, les Maîtres sages, qui donnez les réponses.

 

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Je voudrais que vous, si vous le voulez bien, partagiez un problème dans votre vie avec lequel vous avez lutté, avec lequel vous vous êtes débattu, avec lequel vous avez lutté, quelque chose dans votre vie qui est probablement causé par cette force gravitationnelle qui le retient fermement. Et avant que vous ne leur tendiez le micro, Linda, la gravité est une chose intéressante, et nous allons vraiment l'étudier cette année à Keahak et même aux Shouds. Mais vous avez un problème dans votre vie, quel qu'il soit, et vous commencez à y penser, et bien souvent nos discussions ici évoquent ces choses. Mais vous commencez à y penser.

 

 Maintenant, il se solidifie encore plus à cause de la gravité. Disons que vous avez une mauvaise relation et que vous voulez vraiment vous en sortir. Mais bien sûr, les choses humaines entrent en jeu : « Que vais-je faire ? Comment vais-je survivre ? Vous avez peur de briser certaines vieilles choses, et plus vous y réfléchissez, plus la gravité devient lourde. Vous avez un problème de santé et vous commencez soudainement à vous inquiéter. Vous savez, vous allez chez le médecin et il ne dit rien. C'est la pire des choses. Ils regardent les graphiques et disent « Hmm ». Ils ne disent rien, ils ne disent rien.

 

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Maintenant, la gravité s'accumule et se solidifie, et tout ce que vous pouvez faire maintenant est de penser : « Qu'est-ce qui ne va pas chez moi ? Comment puis-je le surmonter ? Peut-être que je devrais utiliser beaucoup de lumière blanche. » La lumière blanche va simplement renforcer encore plus la gravité. Vous vous concentrez sur le déséquilibre. Vous le solidifiez. Vous faites appel aux forces gravitationnelles pour le rendre encore plus réel que jamais. La gravité est difficile, délicate, jusqu'à ce que vous appreniez à en sortir.

 

Au cours de mes réflexions et de mes ressentis des dernières semaines, j'ai réalisé : « Comment pouvons-nous aller au-delà de cela ? Quel est l'impact réel de la gravité ? »– J’ai réalisé que même mon expérience de 100 000 ans  dans ma prison de cristal n'était que de la gravité. Plus je la combattais, plus j'étais piégé par elle. Un peu comme des sables mouvants en quelque sorte. Plus vous vous débattez, plus vous vous enfoncez rapidement. Il est contre-intuitif de rester là et de dire : « D'accord, je m'enfonce lentement. Je m'enfonce lentement. Comment vais-je m’en sortir ? » Mais si vous commencez à vous débattre, si vous vous concentrez dessus – scwhifftttt ! – tout droit vers le fond.

 

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Vous avez de nouveau un problème de santé et vous vous demandez : « Comment puis-je surmonter cela? Comment puis-je …?" Même certains d'entre vous le permettent, mais en fait, vous apportez plus de gravité, plus de densité, plus de condensation, et il est alors très difficile d'en sortir. Vous pensez trop. L’esprit/le mental est comme un très grand aimant gravitationnel, il rassemble tout cela et le maintien là, mais qu’avez-vous d'autre à part votre esprit/mental ? Comment en sortir ? Et puis vous essayez de le faire et cette gravité se moque presque de vous. Vous commencez à penser : « Eh bien, je vais me permettre d'être un Maître et je vais transcender tout cela », et vous commencez à ressentir l'expansion, l'ouverture et le soulagement. Et tout d’un coup – boum ! – la gravité vous attrape par le petit bout de la lorgnette et vous ramène tout de suite. Vous êtes de retour. Ensuite, vous vous sentez vaincu : « Qu'est-ce que je vais faire ? Quelles sont les réponses ? Quelles sont les solutions ? »  C'est ce dont nous allons parler aujourd'hui, mais j'aimerais d'abord vous entendre.

 

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Les Problèmes Bloqués

 

Quel est un problème dans votre vie dont vous n'aviez peut-être pas conscience jusqu'à maintenant, mais un problème dans votre vie où vous vous sentez tellement coincés et que vous voulez surmonter ? Linda, au micro, s'il vous plaît.

 

Salut Nancy. Et cela doit vous concerner, vous uniquement. Il ne peut pas s'agir de quelqu'un d'autre.

 

NANCY : Les mains.

 

ADAMUS : Les mains ?

 

NANCY : Il semble que j'ai des doigts à ressaut sur plusieurs doigts, et c'est très difficile de jouer du piano.

 

ADAMUS : Ouais. Ok. Et qu’avez-vous fait pour essayer d’aller au-delà de cette problématique ?

 

NANCY : Rien.

 

ADAMUS : Rien. Ok. Vous vous en contentez ?

 

NANCY : Non.

 

ADAMUS : Oh.

 

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NANCY : Oui et non.

 

ADAMUS : C'est le plus gros problème dans votre vie ?

 

NANCY : Non.

 

ADAMUS : Quel est le plus gros problème ?

 

NANCY : Nous sommes dans une …

 

ADAMUS : Je veux de la saleté ici.

 

NANCY : Hein ?

 

ADAMUS : Je veux de la saleté (quelques rires). Venons-en au fait.

 

NANCY : Nous sommes dans une très petite maison.

 

ADAMUS : Oui.

 

NANCY : Nous aimerions être dans la maison de nos rêves.

 

ADAMUS : Ok. Pourquoi ne l'êtes-vous pas ? Je suppose, je veux dire…

 

NANCY : Nous nous sommes posé la question.

 

ADAMUS : Moi aussi. Mais, je veux dire, voulez-vous être dans une maison plus grande ?

 

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NANCY : Oui !

 

ADAMUS : Ok. Avez-vous déjà décroché le téléphone et appelé un agent immobilier en lui disant : « Trouvez-moi une plus grande maison» ?

 

NANCY : Oh, je le fais tous les jours.

 

ADAMUS : Oui, et l'agent immobilier dit… ?

 

NANCY : Oh, nous allons voir les maisons.

 

ADAMUS : Ouais, et puis vous dites : « Oh, c'est une belle grande maison », et ?

 

NANCY : Il ne suffit pas qu'elle soit grande. Elle doit être fonctionnelle pour nous deux.

 

ADAMUS : Ok. Bien.  Et qu'est-ce que ça veut dire: « fonctionnelle » ? Comme des parties séparées de la maison ?

 

NANCY : Oui.

 

ADAMUS : Oui. Ok.

 

NANCY : Dans une certaine mesure.

 

ADAMUS : Une grande cour ? Pas de cour ? Deux étages ? Un étage ?

 

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NANCY : En fait, rurale. J'aimerais qu’elle soit très rurale.

 

ADAMUS : Rurale. Dans le bled.

 

NANCY : Donc, le grand extérieur, c'est la cour.

 

ADAMUS : Vous ne voulez pas vivre en ville au milieu de tout ce trafic, du bruit et de la pollution ?

 

NANCY : Nous ne vivons pas en ville. Nous vivons dans une petite ville et c'est très charmant. Et nous avons de merveilleux voisins.

 

ADAMUS : Depuis combien de temps recherchez-vous cette nouvelle maison ?

 

NANCY : Euh…

 

LISA (fille de Nancy) : Cinq ans.

 

ADAMUS : Cinq ans. Les humains me laissent perplexe. Ils me laissent vraiment perplexe. Alors pourquoi n'êtes-vous pas là ?

 

NANCY : (elle soupire) Nous n'avons pas encore appris à le manifester.

 

ADAMUS : Pourquoi pas ? Je vais faire une pause ici.

 

NANCY : Je pense que Lisa doit nous retenir (elle rit).

 

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ADAMUS : Je vais faire une pause ici. Chers auditeurs, voyez-vous le problème ici ? Est-ce vous voyez? Et en plus, vous entrez dans ce genre de dialogue mental– ou parfois de monologue – et vous continuez à vous enfoncer de plus en plus, excuse après excuse après excuse. Il n'y a rien qui cloche chez vous. Il n'y a rien de mal à vouloir vivre dans une situation plus confortable. Mais mon évaluation, Dr Adamus, dit que la gravité vous retient. Il y a des maisons là-dehors. Il y a de l'abondance là-dehors.

 

NANCY : Mais nous n’aimons pas tellement les maisons que nous voyons.

 

ADAMUS : Alors vous imaginez la maison que vous voulez. Mais la gravité vous aspire à nouveau : « Nous sommes coincés dans cette petite maison. » Cela a un effet phénoménal. Je suis très enthousiaste à propos de la gravité ou de son dépassement, parce que c'est une telle libération. Je sais que c'est ce que vous voulez, et je n'en doute pas. Je ne dis pas que vous vous arrangez pour ne pas l'obtenir, pour être défaitiste et avoir de quoi vous plaindre et tout le reste. Allons au-delà. Nous allons faire un peu – nous allons faire un peu de magie.

 

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NANCY : Bien.

 

ADAMUS : Et la magie signifie simplement que c'est ce que vous ne comprenez pas. La magie – ce que vous ne comprenez pas à travers le cerveau, mais pourtant tout est là.  La magie, c'est aller au-delà du bon sens, des limites de l’esprit/du mental et certainement des limites de la gravité. C'est cela la magie. Elle est partout. Utilisons-la. Nous aurons notre outil d’ici la fin de la journée, et ensuite il ne restera plus qu’à le mettre en application, à faire de la métaphysique appliquée.

 

NANCY : Super.

 

ADAMUS : Je suis tellement excité à ce sujet, parce que j'ai été un peu déprimé… – J'ai bu plus que d'habitude (quelques rires).

 

LINDAHum !

 

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ADAMUS : J'ai été un peu déprimé ces derniers temps. Je bois du thé au Club des Maîtres Ascensionnés. Maintenant, Tobias, il est un peu idiot. Il boit beaucoup de vin. Vous savez, au Club des Maîtres Ascensionnés, nous avons beaucoup de caves à vin, je veux dire, partout, avec ce que le monde peut offrir de meilleur. Mais il semble que nous devions toujours en commander beaucoup plus (plus de rires). Ce Tobias. Et je pense que Kuthumi se laisse tenter de temps en temps. Je bois du thé. Mais cela me préoccupe vraiment ces derniers temps, quel est le problème ? Quel est le problème ? Et, vous savez, il est facile de vous blâmer et de dire : « Eh bien, vous ne le voulez pas assez» et bla, bla, bla. Et puis j'ai réalisé – j'ai vraiment ressenti les énergies – ce n'est pas du tout ça. Il y a cette force, cette force de gravité, qui provoque/ qui cause beaucoup de blocages.

 

Et puis nous avons commencé à en parler – nous, au Club des Maîtres Ascensionnés – nous avons commencé à en parler. Comment percer ?  Comment traverser? Nous le découvrirons aujourd'hui, mais passons au suivant.

 

LINDA : (chuchotant) Ok.

 

93

 

 

ADAMUS : Selon vous, quel problème dans votre vie est cimenté à cause de cette gravité ?

 

MARY : Ehh.

 

ADAMUS : Vous êtes avec des amis. Vous savez, vous pouvez être aussi ouverte que vous le souhaitez.

 

MARY : Désolée. J'ai été distraite. Je suis entrée dans un petit « Oh, non! »Alors, quel problème récurrent ai-je ?

 

ADAMUS : Ouais. Dans quel problème vous sentez-vous bloquée, avec lequel vous ne pouvez aller nulle part et que vous avez peut-être essayé et combattu, mais qui est resté bloqué?

 

MARY : J'ai l'impression – je ne sais pas – que je vais au-delà de cela.

 

ADAMUS : Ok. Bien. Pas de problèmes ?

 

MARY : Eh bien, je vis toujours dans le Et, donc certains problèmes continuent de surgir, mais, vous savez, j'ai laissé tomber la relation et…

 

ADAMUS : Oh. Comment cela s'est-il passé ?

 

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MARY : Eh bien, oui, j'ai reçu un coup de poing, mais...

 

ADAMUS : Ouais.

 

MARY : … une fois que j'ai traversé et surmonté cela, j'ai réalisé que c'était définitivement…

 

ADAMUS : Vous arrive-t-il de vous dire: « Dieu ! J'aurais aimé avoir fait ça avant ?

 

MARIY : Pardon ?

 

ADAMUS : Vous arrive-t-il de vous dire « j'aurais dû faire ça plus tôt » ?

 

MARY : Bien sûr.

 

ADAMUS : Bien sûr. Ok (elle rit). Ouais, ouais.

 

MARIY : Mais non. Je veux dire, tout s'est passé au moment approprié.

 

ADAMUS : Y a-t-il des choses qui se passent dans le corps physique, des problèmes, un sentiment de blocage ?

 

MARY : Non. J'avais l'impression de secouer le parasite que j'avais ramené du Mexique.

 

97

 

ADAMUS : Ok (elle rit). Ok. Bien. Comment est-ce arrivé – pourquoi l’avez-vous ramené du Mexique ? Pourquoi ne l'avez-vous pas laissé là-bas ?

 

MARY : Je sais, j'aurais aimé l'avoir fait.

 

ADAMUS : Ouais, ouais. Ouais.

 

MARY : Surtout que je vais y retourner.

 

ADAMUS : Oh. Combien de temps cela a-t-il duré ?

 

MARY : Oh, environ six semaines.

 

ADAMUS : Ok. Bien.

 

MARY : Ouais.

 

ADAMUS : Ok. Mm… (Adamus fait une pause)

 

MARY : Vous voulez me dire quelque chose ? (elle rit)

 

ADAMUS : Cauldre ne veut rien dire, mais je m'en fiche (quelques rires). Alors, je dois dire…

 

MARY : Allez, Cauldre ! (elle rit)

 

ADAMUS : … que c'est toujours un peu là. Je veux dire, ce parasite. Comment l'ont-ils diagnostiqué ?

 

98

 

MARY : Un parasite.

 

ADAMUS : Ok. Mais je veux dire, un certain – lui ont-ils donné un certain nom ?

 

MARY : Ouais. Je ne me souviens même pas du nom, mais c'était une chose rare.

 

ADAMUS : Ok. Vous savez, cela persiste encore, donc, vous savez, c'est quelque chose que nous pouvons aussi dépasser. Ce n'est pas une menace pour la vie, mais une menace pour le plaisir.

 

MARY: Oh.

 

ADAMUS: Ok

 

MARY: Ok.

 

ADAMUS : Ouais. Bon sang. Cauldre dit : « Regardez ce que vous lui avez fait ?! Maintenant vous avez gâché sa journée ! Mais ce n'est pas grave, nous irons au-delà.

 

MARY : Ok.

 

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ADAMUS : Ok. Encore deux ou trois. Quel problème est bloqué ? Et la raison pour laquelle je pose cette question, c'est pour que lorsque nous en viendrons à débloquer les problèmes, vous vous concentriez clairement dessus.

 

AGGI : J'ai un peu de tout.

 

ADAMUS : Ok (elle rit). C'est un peu comme un assortiment de problèmes. Ouais.

 

AGGI : C’est vrai ! J'avais un problème de digestion. Je veux dire, je l'ai encore un peu. Vous savez...

 

ADAMUS : Peut-être que c'est son parasite.

 

AGGI : J'espère que non ! (elle rit) Je ne la connais pas depuis si longtemps.

 

ADAMUS : Ouais.

 

AGGI : Donc, je pense qu’au fond, le problème est la percée finale. Parce que beaucoup de choses – financières, de santé – sont juste là. Juste, vous savez, à un demi-souffle, comme vous dites.

 

ADAMUS : Bon. Bien.

 

109

 

AGGI : Comme pour le problème de digestion, lorsque j'ai commencé à prendre mes responsabilités et à ne pas aller chercher de l'aide à l'extérieur, cela a commencé à disparaître. Mais cela ne disparaît jamais vraiment.

 

ADAMUS : Bien

 

AGGI : Les finances se sont beaucoup améliorées, mais cela ne me permet jamais…

 

ADAMUS : Que se passe-t-il avec le problème digestif ?

 

AGGI : J'ai beaucoup de douleurs à l'estomac.

 

ADAMUS : Non, je veux dire, quelle en est la cause profonde ?

 

AGGI : La cause profonde ? Euh… (elle fait une pause)

 

ADAMUS : (chuchote) SES.

 

AGGI : Je pense que c'est un manque de confiance en moi.

 

108

 

ADAMUS : Ouais. Ce virus SES (énergie sexuelle) réside pratiquement dans l’intestin. Je veux dire, c'est là qu'il trouve sa base, et plusieurs choses se produisent. Si vous libérez une grande quantité de ce virus SES, il réagit et il va vous débarrasser d'une bonne partie de votre corps et vous mettre mal à l'aise. Mais même si vous n'essayez pas nécessairement de le libérer, il est simplement en train de grandir là-bas. Et vous faites beaucoup de libération ces jours-ci. Beaucoup, beaucoup. Mais c'est juste cette activité qui en découle. Et puis vous devenez folle et vous vous demandez : « Pourquoi moi ? »  et « Pourquoi ai-je ça? » et « Mes foutus ancêtres » et, vous savez, cela rend la vie un peu inconfortable par moments. Qu'avez-vous fait pour essayer d'y remédier ?

 

AGGI : C'est-à-dire un travail énergétique ou physique ?

 

ADAMUS : N'importe quoi. Des probiotiques ?

 

AGGI : J’ai essayé ça.  Il y a eu une période où c'était si grave que je suis allée voir des médecins et j'ai réalisé qu'ils ne savaient pas.

 

ADAMUS : Non, ils ne le savent pas.

 

AGGI : Ils ne font que deviner.

 

ADAMUS : Non.

 

110

 

AGGI : Et la première étape a été – si ce n'est pas moi, alors personne ne le résoudra – donc la première étape a été de laisser tomber l'extérieur, vous savez, comme compter sur l'extérieur.

 

ADAMUS : Vous avez donc appris à faire face, n'est-ce pas ?

 

AGGI : Oui et non. J'ai fait toutes sortes de choses que je pouvais faire, j’ai continué mais cela n'a jamais vraiment résolu le problème. Ce que j'ai fait, c'est que malgré ce problème, j'ai continué à avancer.

 

ADAMUS : Ok.

 

AGGI : Parce qu'à un moment donné, c'était tellement grave, il y a environ cinq ans, vous savez, cela m'a bloquée, c'est-à-dire que j'avais peur de faire des choses dans ma vie. Puis j'ai réalisé que si je restais comme ça, je tomberais (elle rit).

 

ADAMUS : Absolument.

 

AGGI : Et c'était comme si je ne voulais pas, ce n'était pas ce pour quoi je suis venue ici. Je voulais une bonne vie pour moi, une vie sans ça. Genre, en profiter réellement et être réellement libre et abondante et vous savez…

 

111

 

ADAMUS : Bien.

 

AGGI : … être celle que je savais déjà que je suis. Et donc, j'ai juste commencé à bouger, au lieu, vous savez, d'être coincée.

 

ADAMUS : Bien.

 

AGGI : Genre littéralement dans ma vie – continents, pays.

 

ADAMUS : Bien, bien !

 

AGGI : Je passais juste au-delà des choses que je craignais de ne pas pouvoir faire, comme pour me prouver à moi-même que rien de tout cela n'est vrai, vous voyez?

 

ADAMUS : Bien.

 

AGGI : Une sorte de boule de peur qui résidait ici.

 

ADAMUS : Bien.

 

AGGI : Et, vous savez, chaque pas que je fais, chaque changement que je fais rend les choses plus faciles, les libère. Où est le moment où nous pourrons…

 

ADAMUS : Mais vous y êtes parvenue. Vous y faites face.

 

112

 

AGGI : Ouais.

 

ADAMUS : Ce n'est pas résolu.

 

AGGI : Oui.

 

ADAMUS : Il y a plusieurs choses qui se passent ici et, encore une fois, Cauldre ne veut pas que j'en parle/ que j'entre dans les détails, mais je vais le faire. Donc, deux choses. C'est le virus SES, et on s'en remet vraiment en partie. C'est une sorte de débusquage constant /de chasse constante, mais il ne veut pas disparaître. Il va s'accrocher, c'est la gravité.

 

AGGI : Exactement.

 

ADAMUS : Vous avez également une vie antérieure qui a été littéralement poignardée au ventre.

 

AGGI : Eeww !

 

ADAMUS : Et, ouais, ooh ! Ça va le faire (elle rit). Et cette vie passée est toujours dans l’agonie et la douleur.

 

AGGI : C’est le problème. Parfois, je me dis : «D'où cela vient-il? » Je n'ai pas l'impression que c'est moi, mais je n'arrive pas à le surmonter. Et c'est tellement - ce n'est pas humiliant, mais c'est une sorte de sentiment indigne. Mais je veux aller au-delà, comme vous l'avez dit. C'était un sentiment tellement agréable d'entendre que vous savez que nous le voulons, que nous voulons le changement. Bien souvent, vous disiez : « Si c'est là, c'est que vous le voulez. » Je répondais : « Je ne le veux pas, et c'est là ! »

 

113

 

 

ADAMUS : Et la plupart des gens, c'est comme ça. S'il y a encore quelque chose dans leur vie, c'est parce qu'ils le veulent. Et j'accuse les Shaumbra de le faire. Mais quand je me suis vraiment lancé dans ce défi post-Heaven's Cross (post Croix du Ciel) et la malédiction des Shaumbra et que j'ai commencé à m'y sentir de plus en plus profondément, certains Shaumbra aiment encore le jeu, et je les accuserai de cela. Mais beaucoup, beaucoup disent maintenant : « D’accord, j’en ai marre. » Mais alors ils ne peuvent pas sortir. Ils ne savent pas comment passer à l'étape suivante.

 

AGGI : Certains aspects l’apprécient. Pas dans le sens : « Oh, c'est tellement bon », mais dans le sens où cela leur donne une identité.

 

ADAMUS : Cela leur donne une identité. Absolument.

 

AGGI : Mais pas dans le sens de: « Ooh ! J'aime ça." (elle rit)

 

120

 

ADAMUS : Mais ensuite vous : «Ok, je suis prête à aller au-delà de tout cela. Et je me suis confrontée à moi-même. Est-ce que je le veux vraiment ? Non. Et alors, qu’est-ce que… ? »  Alors, vous obtenez cette gravité qui retient tout cela et une vie passée aussi. Vous voyez, la gravité n’est pas seulement physique. Elle est en fait plus émotionnelle qu'autre chose. Et vous avez cette vie passée qui souffre encore à cause de cela, et qui l'a infligée à cette vie-ci. Mais cette souffrance de la vie passée est maintenue par une force gravitationnelle, une gravité émotionnelle.

 

AGGI : Hm.

 

ADAMUS : Ok, encore deux ou trois. Nous allons y travailler aujourd'hui.

 

LINDA : Ricardo.

 

121

 

 

ADAMUS : Bonjour, monsieur.

 

RICARDO : Bonjour.

 

ADAMUS : Alors, bienvenue, au fait. Bienvenue au Crimson Circle, à Shaumbra. Quelles sont vos impressions et vos sentiments jusqu’à présent à propos de tout le monde? (quelques rires).

 

RICARDO : Eh bien, ce n’est pas ce à quoi je m’attendais.

 

ADAMUS : À quoi vous attendiez-vous ?

 

RICARDO : (il se racle la gorge) Euh…

 

ADAMUS : Pas ça (Adamus rit).

 

RICARDO : Non, mais ça va.

 

ADAMUS : Ouais.

 

RICARDO : Ouais. Tout d'abord, c'est un honneur de vous rencontrer.

 

ADAMUS : Merci, c'est un honneur de vous rencontrer.

 

122

 

 

RICARDO : Oui.

 

ADAMUS : Donc, le problème dans votre vie est que vous avez presque tout fait pour essayer de le surmonter, et il est toujours là. Peut-être qu'il est simplement coagulé par gravité.

 

RICARDO : Ouais. J'ai eu ce problème toute ma vie et je transpire beaucoup.

 

ADAMUS : Ouais. Moi aussi, surtout en présence des Shaumbra (Adamus rit). Vous transpirez beaucoup. Ok. Aucun problème avec cela. C'est en fait la façon dont le corps se nettoie.

 

RICARDO : Ouais, c'est ce que j'espère.

 

ADAMUS : Oui, bien souvent, vous savez, le corps a un problème, il contient des toxines, et bien souvent, la transpiration est causée par cela. C'est tout à fait naturel. Ouais. Mais ce n’est pas votre plus gros problème, n’est-ce pas ?

 

RICARDO : Eh bien, je veux dire, physiquement, oui.

 

ADAMUS : Émotionnellement ?

 

123

 

RICARDO : Émotionnellement ?

 

ADAMUS : Ouais.

 

RICARDO : La solitude.

 

ADAMUS : La solitude. Ok. Pourquoi cette solitude

 

RICARDO : Eh bien, je pense que c'est lié au problème de santé que j'ai... ouais.

 

ADAMUS : Ce n'est pas vraiment le cas. Je veux dire, c'est…

 

RICARDO : Genre, je ne veux pas penser… être touché. Je ne sais pas. Non, désolé (il rit).

 

ADAMUS : Non, non. Bien. Non, c'est en quelque sorte une excuse pour être seul. C’est renforcé par le fait de penser que vous transpirez beaucoup. Et vous savez, en fait, tout le monde s'en fiche. Deuxièmement, c'est une excuse pour se sentir seul, pour s'isoler.

 

RICARDO : Eh bien…

 

127

 

ADAMUS : Avez-vous parlé à un médecin ?

 

RICARDO : Oui, beaucoup.

 

ADAMUS : Qu'ont-ils dit ?

 

RICARDO : Des choses stupides.

 

ADAMUS : Des choses stupides. Bien! Bien! (Adamus rit) Définitivement.

 

RICARDO : Aucun d’entre eux… ouais.

 

ADAMUS : Alors, jetons un coup d'œil au côté émotionnel, à la solitude, et retenu, encore une fois, par la gravité. Disons qu'il n'y a pas de transpiration. Voudriez-vous être entouré de beaucoup de gens?

 

RICARDO : Oui. Oui.

 

ADAMUS : Vous le feriez, ok. Voudriez-vous faire la fête ?

 

RICARDO : Oui.

 

ADAMUS : Et sortir avec beaucoup de gens? (il acquiesce oui) Ok.

 

128

 

 

RICARDO : Ce sont les choses avec lesquelles je lutte.

 

ADAMUS : Ok. Super. Aucun problème. Aucun problème. Puis-je vous donner un câlin? Allez, venez! (ils s'embrassent). Bien.

 

RICARDO : Merci.

 

ADAMUS : Ok. Vous ne pensiez probablement pas que vous alliez avoir le micro aujourd'hui.

 

RICARDO : C'est exact.

 

ADAMUS : Ouais, mais vous l'avez eu. N'êtes-vous pas content que ce soit fini maintenant ? Oh !

 

133

 

RICARDO : Oui, et je voulais un câlin.

 

ADAMUS : Ouais, bien.

 

RICARDO : Alors, vous lisez dans mes pensées.

 

ADAMUS : Bien. Non, Linda l'a fait (quelques rires). Ouais. Je ne lis pas dans les pensées, d'ailleurs. Oh, ce serait horrible. Pouvez-vous imaginer ce que ce serait si vous pouviez lire dans les pensées de tout le monde et avoir toutes leurs pensées et tout le reste? Je déchiffre les énergies, mais je ne lis pas dans les pensées. Ok. Oui.

 

TAMARA : Oui. Salut Adamus. Salut tout le monde.

 

ADAMUS : Un problème ?

 

TAMARA : Oui. Je bois trop d'eau.

 

ADAMUS : Vous buvez trop d'eau.

 

TAMARA : Et cet œil juste ici.

 

135

 

ADAMUS : Mm hmm. Dites-moi, pourquoi boire trop d'eau est-il un gros problème ? Certaines personnes se disent : « J'aurais bien aimé avoir ce problème. » (rires) « S'il vous plaît, donnez-moi ce problème. » (rires)

 

TAMARA : Je ne peux pas vivre sans.

 

ADAMUS : Bien. C'est la même chose avec la respiration. Est-ce que vous respirez trop ?

 

TAMARA : Oui, mais c'est trop.

 

ADAMUS : Trop ? Qu'est-ce que trop d'eau potable ? Je pensais que vous alliez dire boire du whisky, mais…

 

136

 

TAMARA : Regardez combien d'eau je dois boire (elle montre un bidon d'eau). C’est trop, et avant même de boire…

 

ADAMUS : Est-ce que c'est pour une heure ou une journée ?

 

TAMARA : Non, j'en bois deux ou trois par jour.

 

ADAMUS : C'est bon pour vous. Ouais.

 

TAMARA : Et je dois beaucoup utiliser la salle de bain.

 

ADAMUS : C'est bon pour vous aussi.

 

TAMARA : Ouais ?

 

ADAMUS : Ouais, bien sûr. Nettoyage constant. Je veux dire, en fait, les Shaumbra, ils ont tendance à être déshydratés. Donc non, c'est une bonne chose.

 

TAMARA : Ok.

 

ADAMUS : Passons à quelque chose d'important ici.

 

138

 

TAMARA : Et mes yeux. Celui-ci en particulier (œil droit).

 

ADAMUS : Que fait-il ?

 

TAMARA : Parfois, il se ferme– eh bien, il devient trop petit.

 

ADAMUS : Ok.

 

TAMARA : Il est déjà petit, mais il devient encore plus petit. Celui-ci en particulier (œil droit).

 

ADAMUS : Ok. Ok.

 

TAMARA : Et celui-ci (œil gauche), il est régulier. Que se passe-t-il?

 

ADAMUS : Eh bien, ce ne sont pas vraiment de gros problèmes.

 

 TAMARA : Ils le sont ! Pour moi !

 

ADAMUS : Pour vous, ce sont de gros problèmes. Ok.

 

TAMARA : Parce que je portais les lunettes de ma fille, parce que je ne voulais pas montrer mes yeux, parce que celui-ci, vous savez, allait devenir…

 

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ADAMUS : Un petit effet gravitationnel sur l’œil.

 

TAMARA : Oui.

 

ADAMUS : Ok. Nous allons passer à travers cela.

 

TAMARA : Bien.

 

ADAMUS : Bien. Vous serez l’enfant modèle d’une guérison rapide. Oui. Mais continuez à boire de l’eau. Il n'y a rien de mal à cela.

 

TAMARA : Ok.

 

ADAMUS : Ouais. Bien.

 

TAMARA : Très bien. Merci.

 

ADAMUS : Encore deux, et nous passerons à autre chose.

 

LINDA : (chuchotant) Ok.

 

141

 

ADAMUS : Parler des problèmes dans votre vie et boire trop d'eau n'est pas admissible. Je suis désolé. Cela ne fait pas partie de la liste. Ce n'est pas admissible. Oui, quels problèmes ?

PATRICIA : Bonjour. Eh bien, je remarque que j'ai fait tellement de choses pour en arriver là, et maintenant je suis dans cet espace et parfois… c'est comme si j'avais tellement de conscience, mais en entrant dans la forme humaine, j'ai un rejet. C'est comme si j'avais un ami et que j'avais laissé échapper un jour : « Je ne veux pas être humain ; Je veux être parfaite. » Et c’était tellement révélateur pour ma conscience.

 

ADAMUS : Bien.

 

PATRICIA : Et il y a eu beaucoup de solitude, mais je ne pense pas qu'il s'agisse uniquement de cela. Je pense que c'est une question d'identité. C'est un peu comme si j'avais toujours voulu arriver ici et maintenant je suis là, et maintenant quoi ?

 

ADAMUS : Et maintenant ?

 

144

 

PATRICIA : Et j'ai plus ou moins peur de ça. C'est un peu comme si j'étais en train de faire des allers-retours. En ce moment, j'ai l'impression d'être quelque part en train de me regarder partager…

 

ADAMUS : Vous l’êtes.

 

PATRICIA : … parce que c'est tellement effrayant.

 

ADAMUS : Bien. N'est-ce pas effrayant ? Ouais.

 

PATRICIA : Eh bien, c’est le cas en ce moment.

 

ADAMUS : Ouais. Ça l'est.

 

PATRICIA : Parce que j'expose ce qui a été enterré là-dedans pendant toutes ces années.  Juste que cet esprit/mental va et vient, il va et vient.

 

ADAMUS : L'esprit/le mental est un très grand aimant pour cet effet gravitationnel, et il ne s'agit pas seulement de la gravité. 

 

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Il s'agit d'électromagnétisme et d’un certain nombre d'autres choses condensées ensemble. Il est vraiment difficile de s'en affranchir. Et j'en viens à mon point de vue – merci de l'avoir partagé– j'en viens à mon point de vue, c'est probablement le plus gros problème que je vois avec les Shaumbra, à part boire trop d'eau, le plus gros problème est : « Quand est-ce que je vais percer? Quand est-ce que cela va se produire ? Je peux le sentir. Je sais que c'est là. Mais comment puis-je accéder aux niveaux suivants dont nous avons parlé, les niveaux de magie, le niveau de grâce et de facilité? » Et c'est comme si vous étiez là, vous savez que c'est là, et vous vous dites : «Ok, je sais que ça va arriver demain », et puis ça n'arrive pas. Et : « Je sais que je vais réaliser ma Réalisation. Je vais vraiment comprendre ma lumière, mon énergie », et c'est juste cette chose frustrante où cela ne se produit tout simplement pas. Il n'y a pas de percée.

 

Prenons donc une grande respiration. Cette gravité est une force très, très, très puissante.

 

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L'Autre Côté de la Gravité

 

Nous en avons un peu parlé à Keahak, jusqu'à un certain point. Vous avez donc votre conscience, n'est-ce pas ? Et puis vous avez votre énergie. L’énergie et la conscience travaillent ensemble, même si elles ne sont pas encore vraiment intégrées. Mais elles travaillent ensemble.

 

Maintenant, au moment où votre énergie est activée, ce qui signifie que vous, l’être doté d’une âme, choisissez de faire quelque chose, l’énergie est activée et se transforme en lumière. La lumière est simplement une énergie directionnelle concentrée/ focalisée. Elle va servir un but. Elle va maintenant faire quelque chose, alors elle se transforme en lumière. Mais c'est en réalité juste de l'énergie, qui se transforme en lumière, et elle commence son voyage vers vous dans cette réalité pour soutenir vos expériences, pour soutenir la vie.

 

Et au moment où la lumière commence à bouger/ à se déplacer, commence à entrer en jeu, dans votre expérience, elle crée une force gravitationnelle. Cette force gravitationnelle a une très, très bonne raison d'être.  Elle maintient les choses ensemble. Elle rassemble les choses dans une sorte de composition. Elle rassemble même des choses comme votre vue, votre ouïe, votre odorat, tous vos sens humains. Elle les rassemble, sinon ils seraient éparpillés partout. Comme en ce moment, vous utilisez presque tous vos sens pour ce que nous sommes en train de faire. Le tout est maintenu par la gravité. C'est une belle dynamique de coalescence /de fusion.

 

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C'est une très belle dynamique. Mais au fil du temps, cette gravité s'est de plus en plus concentrée sur le physique, sur ce plan terrestre, sur le mental, et on a vraiment oublié l'autre côté de la gravité. La gravité ne maintient pas seulement les choses sur le plan physique ou émotionnel ; c'est aussi la même force qui ouvre tout, qui vous permet de vous concentrer et qui vous permet ensuite de vous ouvrir et de vous étendre.

 

Les physiciens commencent tout juste à en parler, commençant à réaliser qu’il existe une autre force, une autre facette de la gravité. Ils l'appellent la matière noire. Je n'aime pas du tout ce nom, parce que ce n'est pas sombre– cela signifie simplement qu'ils ne savent pas de quoi ils parlent – ​​ et ce n'est pas du tout de la matière. Ce n'est pas solide. Ce n'est pas une masse. Cela a toujours été – c'est l'autre côté de la gravité – cela a toujours été, mais cela a été oublié.

 

Nous en avons parlé à Keahak et dans certains ateliers, et j'ai fini par dire: « Nous devons lui donner un nom différent » et je l'ai récemment intitulé aérothéon. Aérothéon.  C'est a-e-r-o-t-h-e-o-n. « Aéro », signifiant air, atmosphère ou ouverture. « Theon », essentiellement une interprétation vague du mot « Esprit ». C'est donc un Esprit ouvert et libre, et c'est l'autre côté de la gravité. C'est la partie de la gravité qui ouvre les choses, qui vous transporte vers d'autres royaumes, qui vous élève. Alors que la gravité régulière, telle que vous la connaissez, vous fait entrer, il y a un flux naturel. Au fur et à mesure que vous entrez, vous vous étendez, vous vous élevez, vous vous rendez dans d'autres royaumes, et cela crée une belle boucle à un certain point. Il s'agit donc d'un rapprochement constant, d'une coalescence/d'une fusion, d'une ouverture et d'une expansion constants.

 

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Les forces gravitationnelles sont très importantes pour passer aux niveaux suivants. Mais quand il n’y a qu’un seul côté, c'est comme si vous n'aviez qu'un côté masculin ou qu'un côté féminin; ce serait terriblement déséquilibré et cela ne vous donnerait pas une vie très épanouissante. C'est la même chose avec la gravité. Elle vous retient dans une chose, vous retient dans la conscience de masse, dans les vieux schémas, dans ce corps physique.

 

Donc, l'autre côté est l'aérothéon, l'ouverture, et j'aimerais commencer, avec les Shaumbra maintenant, commencer à utiliser cela, à en être conscients. En être conscients pour réaliser ce qu’est le Et. Vous pouvez être très condensés et concentrés ici, et vous pouvez être très ouverts. Et cela crée une telle beauté– c'est presque comme le symbole de l'infini – c'est un flux très ouvert et naturel.

 

Donc, la question à laquelle je réfléchis est la suivante : comment pouvons-nous procéder ? Comment allons-nous faire cela? Ferons-nous beaucoup de merabhs ? (quelqu'un dit « Achetez un trampoline ») Achetez un trampoline ? Ok. Mais – ok, un bon trampoline. Un trampoline, mais ça va toujours vous déprimer, n'est-ce pas? En fin de compte, au bout de trois ou quatre jours, vous serez au plus bas, au plus bas.

 

Alors comment le fait-on? Et j'aimerais vos suggestions et contributions, car cela me laisse perplexe. Que pouvons-nous faire maintenant pour nous ouvrir, pour percer ? Quels outils ? Que pouvons-nous partager avec les Shaumbra du monde entier ? Comment pouvons-nous y arriver? Comment percer la masse ? Et je vais vous le dire tout de suite, s'il y a trop de réflexion, vous ne ferez que renforcer la gravité. Vous ne ferez que rendre la sortie plus difficile.

 

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Sortir de la Gravité

 

Nous allons donc passer le micro, et je vais demander au personnel à l'arrière-boutique de bien vouloir dresser une liste au fur et à mesure que nous avançons. Alors, dites ce que vous avez à dire, mais formulez-le ensuite en quelques mots ou moins. Ok. Marie Beth?

 

MARY SUE: Mary Sue (elle rit).

 

ADAMUS: Mary Sue. Merci.

 

MARY SUE : Ce que j'ai essayé de faire par moi-même, c'est de, euh… ok, la tristesse est l'un des miens.

 

ADAMUS : La tristesse, Ok.

 

MARY SUE : Et je sais que j'entre/ que je sombre dans la tristesse parce que cela me pousse à aller plus profondément, et j'ai un tel désir d'aller plus profondément.

 

ADAMUS : Je veux comprendre cela. La tristesse vous fait aller plus profondément.

 

MARY SUE : Parce que quelque chose ne va pas, et je veux le découvrir.

 

ADAMUS : Ok. Je veux dire, aimez-vous aller plus loin dans la tristesse ?

 

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MARY SUE : J'aime aller plus loin, mais je veux sortir de la partie tristesse.

 

ADAMUS : Ok.

 

MARY SUE : Donc, ce que j'ai fait, c'est d'éprouver un sentiment d'appréciation pour ce que la profondeur m'a apporté.

 

ADAMUS : Ok.

 

MARY SUE : Et je vois juste le – Ok, peut-être que vous allez appeler cela de la visualisation, mais à défaut d'un outil, que je pourrais obtenir aujourd'hui, je vois simplement la tristesse s'envoler.

 

ADAMUS : Ok. Cela fonctionne vraiment bien, n'est-ce pas ?

 

MARY SUE : Eh bien… (elle rit) C'est ma création.

 

ADAMUS : Bien sûr. J'adore ça. C'est très bien. Et ça l'a fait disparaître, n'est-ce pas ?

 

MARY SUE : Je n'irais pas aussi loin (elle rit).

 

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ADAMUS : Cela a-t-il eu un effet ? Cela a-t-il aidé à réduire le niveau de tristesse ?

 

MARY SUE : Je dirais temporairement.

 

ADAMUS : Dix minutes ?

 

MARY SUE : Je n'ai pas chronométré.

 

ADAMUS : Donc (rires), et je n'essaie pas de vous faire passer un mauvais moment, mais je veux vous utiliser comme exemple.

 

MARY SUE : Non, je le ferai, je le ferai – d'accord.

 

ADAMUS : Vous vous y retrouvez directement aspirée.

 

MARY SUE : Ok.

 

ADAMUS : Et c'est cette foutue gravité qui vous y ramène directement. Et la gravité, s'il s'agissait d'un être, la gravité serait du genre : « Oh, regardez-la ! Elle va entrer dans son truc de tristesse. Je vais m'en mêler et l'aider à s'enfoncer profondément dans sa tristesse. Et puis elle va… »

 

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MARY SUE : « Et puis elle recommencera » (elle rit).

 

ADAMUS : Ouais. Et puis, oui, « Et je serai là quand elle recommencera. » C'est comme un croque-mitaine. Il se moque de vous et il vous dit : « Ok, essaye de sortir.  Essaye de sortir, Mary Sue, et – boum ! – nous allons te remettre immédiatement dedans. »

 

MARY SUE: Ok.

 

ADAMUS : C'est frustrant. C'est très, très frustrant, et je dis que ce type de gravité engendre encore plus de gravité. Cela ne fait que s'aggraver.

 

MARY SUE : Ok.

 

ADAMUS : Voulez-vous sortir de la tristesse ?

 

MARY SUE : Oui.

 

ADAMUS : Ok.

 

MARY SUE : Et je suis plutôt douée pour me mentir.

 

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ADAMUS : Ouais, eh bien, c'est bien (ils rient). Elle a dit qu'elle était plutôt douée pour se mentir. Oui, nous le sommes tous, n'est-ce pas ? Ou « vous tous ». Ok, merci.

 

MARY SUE : Ok.

 

ADAMUS : Ouais. Qu'est-ce qu'on fait? Qu'est-ce qui est écrit sur le tableau ? « Visualisation », n'est-ce pas ?

 

MARY SUE : Ce n'est pas le cœur du problème. Le cœur est de ressentir de l'appréciation/ de la reconnaissance.

 

ADAMUS : Se sentir appréciée-… ok, « appréciation/reconnaissance », oui, sur le tableau. Oh! Comme par magie.

 

MARY SUE : C'est déjà là !

 

ADAMUS : Ouais. Salut.

 

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CHRISTINE : Salut, Adamus. Quelle était la question déjà, parce que… (elle rit)

 

ADAMUS : Ouais, j'ai oublié aussi. Dans toute la gravité de la situation. Que pouvons-nous faire? Comment pouvons-nous briser cette gravité ? Est-ce que nous fabriquons des pistolets antigravitationnels que nous utiliserons, une sorte de chose magnétique ? Est-ce qu'on tire sur la gravité ?

 

CHRISTINE: Ce serait génial, mais je continue d'essayer, en revenant à permettre. Je continue à essayer de permettre davantage.

 

ADAMUS : Ok. Bien.

 

CHRISTINE: Mais je continue à me faire aspirer.

 

ADAMUS : Ouais.

 

CHRISTINE : Donc, je n'ai pas encore compris. Mais dès que je commence à essayer de comprendre mentalement, je sais que je suis vraiment loin, alors je reviens simplement à la respiration, à permettre et être. Je n'ai donc aucune compétence.

 

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ADAMUS : Ouais. Alors comment permettez-vous? Vous, personnellement.

 

CHRISTINE : Personnellement, j'ouvre simplement mon cœur et je suis. Je ne pense pas. Je ne traite pas. Je suis simplement.

 

ADAMUS : Ressentez-vous quelque chose lorsque cela se produit?

 

CHRISTINE : J'ai des picotements partout.

 

ADAMUS : Vous avez des picotements, ok.

 

CHRISTINE : Ouais. Et c'est à peu près tout et je reste là.

 

ADAMUS : Après une bonne permission, que se passe-t-il ?

 

CHRISTINE : J'ai juste beaucoup de joie et ma journée continue, et je suis plutôt heureuse.

 

ADAMUS : Ok.

 

CHRISTINE : Ouais.

 

ADAMUS : Avez-vous remarqué une différence dans votre vie juste avec le fait de permettre?

 

CHRISTINE : Oh, ouais.

 

ADAMUS : Ok.

 

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CHRISTINE : Cent pour cent.

 

ADAMUS : Bien.

 

CHRISTINE : Ouais.

 

ADAMUS : Alors, nous mettons «permettre » au tableau ?

 

CHRISTINE : Ouais.

 

ADAMUS : Ok. Maintenant, je dois dire que certains Shaumbra sont plutôt doués pour permettre. Cela signifie simplement une ouverture totale. Et ne pas essayer de faire des « Je permets. Je permets. Je suis au niveau cinq de la permission. Je suis maintenant au niveau 6 de la permission. » (Quelques rires) Certains d’entre eux sont tout simplement terribles. Ils l'utilisent comme un mauvais mantra. Ils en font une discipline ou un exercice, et le croque-mitaine de la gravité dit simplement : « Oh, mec, je t'ai eu. J'ai tout ce qu'il faut ici. Tu penses que tu permets, et tout ce que tu fais, c'est t'enfoncer encore plus dans ma gravité. Je t'ai eu. ». Ouais. Merci.

 

CHRISTINE : Merci.

 

160

 

ADAMUS : Ok, je permets. Quoi d'autre? Que pouvons-nous faire? Ceci est pour tous les Shaumbra. Que pouvons-nous faire? (Adamus rit) Le regard sur le visage de Gaelon quand il a reçu ce micro.

 

GAELON : Donnez-moi un moment. Je dois configurer ça.

 

ADAMUS : Ok. Vous devez mettre la caméra sur vous-même ?

 

GAELON : Oui.

 

ADAMUS : C'est très bizarre.

 

GAELON : S’il vous plaît…

 

ADAMUS : C'est très bizarre.

 

164

 

GAELON : S'il vous plaît, Adamus, ne bougez pas. Sinon, vous serez hors de ma portée/hors du champ.

 

ADAMUS : Ok. Alors, que pouvons-nous faire, Gaelon, pour surmonter cette force gravitationnelle ?

 

GAELON : (il fait une pause) Je me suis un peu penché sur cette question. Je me sens... ma première pensée a été, vous savez...

 

ADAMUS : Eghh ! Vous ne pouvez pas penser. Ok, mais ensuite. Poursuivez.

 

GAELON : Ok. Très bien, si vous sortez de la gravité et qu'elle vous aspire à nouveau, alors laissez-la vous aspirer ailleurs ? (Adamus rit ; beaucoup de rires dans le public) Je sais.

 

ADAMUS : Ok. Ouais.  Pas de commentaire là-dessus (Adamus rit). Où serait « ailleurs » ?

 

GAELON : Je… tout ce sujet m'a fait penser à mes propres luttes avec certaines dépendances, comme trop boire, et comment l'une des façons dont j'ai supplanté cela est de faire autre chose à la place. Et en utilisant ce même genre d'« acte » en ce qui concerne la gravité ?

 

163

 

ADAMUS : Eh bien, boire peut vous éloigner de la gravité. Non, je veux dire, c'est possible. Les drogues, elles peuvent vous éloigner de la gravité, jusqu'à votre réveil le lendemain matin.

 

GAELON : Ouais, alors ça craint.

 

ADAMUS : Ensuite, vous découvrez : « Ohh, merde ! Je suis de retour dans le pétrin, encore pire. Maintenant, je me sens mal. Ouais. Et la drogue ?

 

GAELON : Pas vraiment. Je veux dire …

 

ADAMUS : Non, ne pensez-vous pas qu'elles vous aideraient à sortir de la gravité ?

 

GAELON : Oh, ouais.

 

ADAMUS : Ouais. Avez-vous déjà essayé des drogues sérieuses ? Je sais que votre mère est assise là…

 

GAELON : Non.

 

ADAMUS : ... j'écoute en ce moment, mais... (ils rient)

 

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GAELON : Rien de tel.

 

ADAMUS : Non ?

 

GAELON : Je pense aux champignons plusieurs fois, mais non.

 

ADAMUS : Ouais.

 

GAELON : Rien de plus dur.

 

ADAMUS : Avez-vous transcendé lorsque vous preniez ça ?

 

GAELON : C'était une balade amusante.

 

ADAMUS : Ouais. Le jour suivant?

 

GAELON : Les champignons, c'était bien. Ce n’était pas vraiment un…

 

ADAMUS : Bien. Bien (Gaelon rit). Mais le problème est que je vais juste m'arrêter un instant pendant que vous rassemblez vos pensées. Donc, vous prenez de la drogue, vous faites de l'ayahuasca ou n'importe quoi d'autre, et, vous savez, c'est exaltant. Mais ensuite, quand vous vous retrouvez à plat ventre dans la gravité un jour ou deux plus tard, peu importe, et que vous êtes toujours coincé et que votre seule issue serait simplement de continuer à prendre ces médicaments, c'est vraiment déprimant. Et la gravité vous a eu une fois de plus  et vous dit : « Ha, ha, ha ! Tu pensais que tu allais prendre ce médicament et que tu allais percer. Euh-euh. Non, je t'ai eu. »

 

GAELON : En fait, en y réfléchissant, j'aimerais changer ma réponse.

 

169

 

ADAMUS : Ok.

 

GAELON : Donc, j'ai été créatif récemment, je veux dire, indépendamment de toutes les drogues, de l'alcool et ainsi de suite.

 

ADAMUS : Bien.

 

GAELON : Créatif.

 

ADAMUS : Ok.

 

GAELON : Faire des choses, construire des choses.

 

ADAMUS : Genre, qu'est-ce que vous faites ?

 

GAELON : Actuellement, je suis – comment puis-je l'expliquer – je suis un maître de donjon pour un jeu de table avec certains membres de ma famille.

 

ADAMUS : Bien.

 

GAELON : J'ai créé le monde entier à partir de zéro, je l'ai écrit, j'ai construit des miniatures et des objets, mais...

 

ADAMUS : Cela me semble être Dieu.

 

GAELON : Ouais, en gros.

 

ADAMUS : Ouais.

 

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GAELON : Et pas seulement cela, mais donner vie à cela.  Création d’un …

 

ADAMUS : Bien sûr. Vous vous appliquez, vous faites quelque chose.

 

GAELON : Un théâtre, ouais.

 

ADAMUS : Bien. Ok. Bien.

 

GAELON : Et regarder les gens…

 

ADAMUS : Alors, qu'est-ce que vous mettriez sur le tableau ici pour les Shaumbra ? Être un maître de donjon ? (Gaelon rit)

 

GAELON : Ce n'est pas une mauvaise idée ! (il marque une pause)

 

ADAMUS : Et Gaelon, est-ce que cela vous a vraiment aidé à vous évader ? Ou est-ce une distraction ? Et il n'y a aucun jugement de ma part, mais…

 

GAELON : De la gravité ?

 

ADAMUS : Ouais.

 

GAELON : J'ai l'impression que ça éclate.

 

ADAMUS : Ok.

 

GAELON : Ce n'est pas une distraction.

 

ADAMUS : Ok.

 

GAELON : Les jeux vidéo sont une distraction.

 

ADAMUS : Ok. Les jeux vidéo le sont.

 

GAELON : Ouais.

 

ADAMUS : Ce n'est pas un jeu vidéo ?

 

GAELON : Ce n'est pas un jeu vidéo.

 

ADAMUS : Ok.

 

GAELON : C'est une table, en personne, comme si nous déplacions des pièces. Il se passe des choses folles. Je raconte une histoire littéralement.

 

172

 

ADAMUS : Bien. Laissez-moi comprendre ceci.

 

GAELON : Ok.

 

ADAMUS : Donc, vous ne faites pas cela comme un jeu vidéo.

 

GAELON : Non.

 

ADAMUS : Qu'est-ce qui a changé dans votre vie ? N'était-ce pas là la majeure partie de votre vie ?

 

GAELON : Vous voulez dire que les jeux vidéo étaient la plupart des…

 

ADAMUS : Mm hmm.

 

GAELON : Ouais. Alors, qu’est-ce qui a changé ?

 

ADAMUS : Combien de temps consacriez-vous chaque semaine aux jeux vidéo, avant de devenir maître de donjon ?

 

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GAELON : Genre, toute la semaine, avant de commencer ça.

 

ADAMUS : Et j'essaie de ne pas bouger, parce que vous êtes censé faire fonctionner la caméra. Mais pouvez-vous imaginer la gravité des jeux vidéo ?

 

GAELON : C'est immense.

 

ADAMUS : Oufwww !

 

GAELON : C'est très difficile de s'en sortir.

 

ADAMUS : Waouh. Ouah. Ouais. Je veux dire, ça vous aspire.

 

GAELON : Ouais.

 

ADAMUS : Et vous êtes immergé dans un jeu, et c'est plutôt amusant. Mais vous êtes simplement retenu par la gravité.

 

GAELON : D'après mon expérience, vous perdez votre capacité à être consciemment présent lorsque vous jouez à des jeux vidéo. Vous êtes perdu dans n'importe quel monde et tout.

 

ADAMUS : Bien. Une partie de vous est perdue dans ce monde, ouais.

 

GAELON : Ouais.

 

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ADAMUS : Ok. Que mettriez-vous sur le tableau ici ?

 

GAELON : Pour le condenser ou le résumer, pour moi, créer un monde dans lequel les gens peuvent jouer, le regarder se dérouler. Je mets ça comme…

 

ADAMUS : Nous n’avons pas beaucoup de place sur…

 

GAELON : Je sais. Je sais.

 

ADAMUS : Qu'en est-il de la « créativité » ? Est-ce …

 

GAELON : Je dirais que c'est quelque chose comme « construire, construire quelque chose ».

 

ADAMUS : Ok. La « créativité », c’est bien.

 

GAELON : Bien, d'accord.

 

ADAMUS : Ouais, bien.

 

GAELON : Ok.

 

ADAMUS : Merci. Ok. Retournons cette caméra. Ok, quelques autres. Oui.

 

ALAYA : Ah !

 

ADAMUS : Je ne vois pas grand-chose de bon – eh bien, ce sont de bons outils. Mais vous savez, nous devons apporter cela aux Shaumbra du monde entier. Nous devons en quelque sorte, vous savez, augmenter le rythme ici, mettre des choses sur le tableau. Que faites-vous pour surmonter la gravité ?

 

174

 

ALAYA : Eh bien, étant une travailleuse du Royaume de longue date et maintenant à la retraite, pour moi, c'est de l'imagination.

 

ADAMUS : Bien.

 

ALAYA : Je m'étends et j'imagine et tout d'un coup, je traverse le temps et l'espace et je vous rencontre sur Haleakalā et nous sommes à Angel's Peak et nous avons des conversations. Je fais juste preuve d'imagination et d'expansion.

 

ADAMUS : Bien. Votre imagination s'enlise-t-elle parfois dans le mental ?

 

ALAYA : Quand l'alarme se déclenche le matin ! (elle rit) Tout d’un coup…

 

ADAMUS : Bien ! (Adamus rit)

 

ALAYA : Je suis juste en train de flotter et tout d'un coup, l'alarme se déclenche, ou tout d'un coup – ce qui me ramène à la gravité, c'est : « Oh, j'ai des factures à payer. Je dois faire la vaisselle. Il faut que je fasse le ménage. »

 

ADAMUS : Exactement !

 

ALAYA : « Oh, maman doit aller chez le médecin. »

 

ADAMUS : Ouais.

 

ALAYA : Vous savez, je veux dire, tout d'un coup, les choses terrestres qui me font descendre et la gravité me tire tout droit vers le bas.

 

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ADAMUS : Elle vous tire vers le bas.

 

ALAYA : Je préférerais de loin voler (elle rit).

 

ADAMUS : Cela efface presque une grande partie de cette imagination.

 

ALAYA : Oh, oui.

 

ADAMUS : Et l'imagination est vraiment bonne.

 

ALAYA : J'adore ça.

 

ADAMUS : Vraiment, vraiment bonne. Mais oui, on vous ramène tout de suite.

 

 ALAYA : Ouais. Mais ça devient plus facile. Je ne sens plus cet élastique frapper autant. Maintenant, je le reconnais en quelque sorte.

 

ADAMUS : C'est une bonne chose pour la liste, et c'est une chose que tous les Shaumbra devraient vraiment se permettre, c'est simplement d’imaginer.

 

ALAYA : Imaginez. Ouais.

 

ADAMUS : Vous n’inventez rien. En d’autres termes, ce n’est pas un petit fantasme. Et très souvent, les gens pensent : « Oh, j'invente juste ça » et que c'est, vous savez, juste de la bêtise mentale/ de la foutaise. Mais ce n'est vraiment pas le cas.

 

175

 

ALAYA : Et le dilemme là-dedans aussi est que j'ai cette imagination, mais je n'ai pas la créativité pour, tout d'un coup, le mettre dans un monde ou le peindre, comme le font les peintres, ou dans de la musique. Tout est dans mon royaume (elle rit).

 

ADAMUS : Mais, d'une certaine manière, c'est la gravité qui vous retient et qui vous dit : « Eh bien, tu n'as pas la créativité. » Vous savez …

 

ALAYA : Pour le manifester. Mettez quelque chose de tangible.

 

ADAMUS : Ouais, mais c'est juste, vous savez, encore une fois, tout cela se coalesce /s'unifie et se resserre dans le cerveau. Encore une fois, si on regarde ce qui a suivi la Croix du Ciel, qu'est-ce que c'est ? Vous savez, tout est là. Comment se fait-il que les Shaumbra n'entrent pas dans le vif du sujet? Et c'est comme – pouah ! – cette gravité.

 

ALAYA : Et puis je ne dis pas : «Qu'est-ce que je fais avec ça ?

 

ADAMUS : Bien.

 

ALAYA : Qu'est-ce que je fais avec ça? Je couds. Je fais peut-être de la céramique. Qu'est-ce que je fais avec ça?

 

ADAMUS : Ouais.

 

ALAYA : C'est là que se situe mon dilemme.

 

ADAMUS : Bien.

 

ALAYA : Ouais.

 

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ADAMUS : Bien. Quelques autres. Il nous en faut quelques autres pour le tableau ici. Salut.

 

SHAUMBRA 1 (femme) : Bonjour. Je dirais qu'avec ce thème, je dirais « visualisation ».

 

ADAMUS : La Visualisation, ok.

 

SHAUMBRA 1 : Juste parce que je suis si mauvaise pour trop réfléchir. J'ai entendu cela à maintes reprises. C'est comme : « Tu réfléchis trop. Tu réfléchis trop aux choses.

 

ADAMUS : Ouais.

 

SHAUMBRA 1 : Et je sais que, oui, le cerveau peut être votre plus grand ...

 

ADAMUS : La réflexion excessive est un excellent aliment pour la gravité. C'est juste – sqwchhhh !

 

SHAUMBRA 1 : Mm hmm. Ça l’est.

 

ADAMUS : Il suffit juste de tout garder ensemble.

 

SHAUMBRA 1 : Bien.

 

ADAMUS : D'une certaine manière, c'est bien. Cela maintient le tout, sauf lorsque vous voulez vous ouvrir, et qu’ensuite vous ne pouvez pas parce que c'est trop serré.

 

177

 

SHAUMBRA 1 : Oui.

 

ADAMUS : Qu'imaginez-vous ?

 

SHAUMBRA 1 : Une autre version de moi-même, autre que celle qui est déprimante et celle sur laquelle, vous savez, ma famille met l'accent et renforce. C'est quelque chose que je sais être possible et juste…

 

ADAMUS : Mais et si je vous disais qu'une autre version de vous, celle que vous imaginez et à laquelle vous aimeriez vraiment vous identifier, existe réellement – ​​pas ici dans ce royaume physique, mais elle existe – mais elle ne peut pas passer. Parce que, encore une fois, cette bulle de gravité, elle ne peut tout simplement pas passer.

 

SHAUMBRA 1 : Je le crois.

 

ADAMUS : Ouais. Ouais. Et donc, vous restez dans cette gravité et ensuite soutenue par votre famille et votre propre perception de vous-même…

 

SHAUMBRA 1 : Les jugements.

 

ADAMUS : … et tout le reste. Et puis vous essayez de sortir et vous essayez de percer et ça ne marche pas, et alors vous êtes épuisée.

 

SHAUMBRA 1 : Oui.

 

181

 

ADAMUS : Oui. Bien. Encore deux ou trois. Donc, la visualisation. Au fait, je n'aime pas la visualisation. Elle a tendance à être très mentale et très limitée. La plupart des gens ne savent pas vraiment comment visualiser ouvertement. Donc, très souvent, je suis sûr que vous avez déjà suivi un cours de visualisation ou si vous voulez une nouvelle voiture, vous la visualisez. Et puis vous ne comprenez pas, et alors vous pensez que vous êtes un mauvais visualiseur. Ensuite, vous êtes encore plus aspiré par cette horrible chose qu’est la gravité. Ouais. Et les amis, si vous pouviez utiliser votre imagination et visualiser, ce serait génial. Mais ce n’est pas le cas. Ils visualisent à un niveau très linéaire, et ensuite cela ne se manifeste pas, et ils pensent alors qu'ils sont vraiment mauvais.

 

Ok, deux ou trois de plus.

 

TAD : Salut. J'allais dire « permettre » et c'est le cas – et je suis d'accord.

 

ADAMUS : Vous pouvez le dire.

 

TAD : Permettre.

 

ADAMUS : Ok.

 

180

 

TAD : Merci.

 

ADAMUS : C'est déjà sur le tableau.

 

TAD : Je sais. Je sais.

 

ADAMUS : Que diriez-vous d'autre?

 

TAD : La Confiance.

 

ADAMUS : La Confiance. Ok.

 

TAD : Ce qui m'est arrivé cette semaine, ce que j'ai permis, je suppose, vous savez, vous aviez ce nouveau mot en Keahak et je me dis : « Oh, super, Adamus, un autre mot que je dois… » ( Adamus rit) Comment le prononcez-vous ?

 

ADAMUS : Au fait, nous avons besoin de cela dans le glossaire.

 

TAD : Je l'ai écrit sur la table de ma salle à manger. Aérothème ou aérothème. Bref...

 

ADAMUS : Comment le dites-vous ?

 

TAD : Mais c'est là, et…

 

184

 

ADAMUS : Comment le dites-vous ?

 

TAD : Aérothème ?

 

ADAMUS : Aérothéon. Ouais.

 

TAD: Aérothe ah .

 

ADAMUS: Aérothe sur.

 

TAD : Aérothéon.

 

ADAMUS : Ouais.

 

TAD : Merci. Aérothéon. Donc, je le permettais. Bien sûr, cela a à voir avec mon chili, cette chose qui a été évoquée, et j'ai dit : « Je ne sais pas ce que c'est. » Je veux dire, je le ressens en quelque sorte, la gravité qui monte, l'eau qui coule, la cascade, bla, bla, bla. Donc, je vais simplement le permettre et je vais avoir confiance que cela se produit. Cela va arriver. Je ne sais pas quel sera le résultat, mais j'ai confiance que ...

 

ADAMUS : Ok, bien.

 

TAD : … ce sera le cas.

 

ADAMUS : Ok. Et pouvez-vous vraiment vous faire confiance ? Dans quelle mesure, sur une échelle de un à dix, le niveau de confiance ?

 

182

 

TAD : Oh, je me fais confiance.

 

ADAMUS : Niveau de un à dix.

 

TAD : Oh, de un à dix ? Dix. Neuf et demi, dix. Dix! (Adamus rit)

 

ADAMUS : Cela me semble un peu discutable.

 

TAD : Dix, tout le monde.

 

ADAMUS : Vous savez, la confiance, c’est une drôle de chose.

 

TAD : Ouais.

 

ADAMUS : Et vous réussissez relativement bien à vous faire confiance. Mais parfois, si elle n'est pas à dix, vous n'avez pas confiance en vous. En d’autres termes, ce point entre neuf et dix pourrait suffire pour que cette gravité vous aspire à nouveau.

 

TAD : Et c'est intéressant. Je ne me mets pas là-dedans. J'ai confiance dans le processus, dans l'aérothéon.

 

ADAMUS : Bien. Ok.

 

TAD : J'ai confiance en cela et je suis en quelque sorte partante pour le voyage. Pas « en quelque sorte », mais je suis juste là-dedans.

 

185

 

 

ADAMUS : Ok. La confiance est une bonne chose. Ouais. Globalement, quelle est son efficacité ? En êtes-vous très, très contente, plutôt contente, pas très contente, ou ça craint ?

TAD : Oh non. J'en suis contente.

 

ADAMUS : Ok.

 

TAD : Ouais.

 

ADAMUS : Bien.

 

TAD : Ça va.

 

ADAMUS : Bien.

 

TAD : C'est en train de se produire.

 

ADAMUS : C'est en train d'arriver. Ok.

 

TAD : Ouais. Merci.

 

ADAMUS : Deux de plus, alors nous devrons passer à autre chose. Si quelqu'un comprend bien, j'ai 100 dollars dans la poche de Cauldre (le public dit « Ooh ! » et Adamus siffle). Qu'apportons-nous aux Shaumbra pour les aider à surmonter ce dilemme de gravité ?

 

188

 

EVELINE : Eh bien, les premiers mots qui me sont venus m'ont surprise, car ils m'irritaient normalement, c'était « laisse tomber ».

 

ADAMUS : « Laisse tomber. » Ok.

 

EVELINE : Mais je pense que dans un sens, il faut éviter cela.

 

ADAMUS : Bien. Le combattre ?

 

EVELINE : Non !

 

ADAMUS : Non. Bien. Cela ne fonctionne pas.

 

EVELINE : Pas du tout.

 

ADAMUS : Ouais.

 

EVELINE : Mais ce qui était en train de se former – j'espère donc pouvoir le comprendre en me tenant ici – c'était « faire quelque chose de nouveau, quelque chose d'inattendu ».

 

ADAMUS : Ok. Donnez- moi un exemple.

 

EVELINE : Donc,  depuis plusieurs années, depuis que j'ai arrêté ma carrière, j'essaie de trouver quelque chose que j'ai envie de faire, qui me plaise, qui me rapporte aussi de l'argent.

 

187

 

ADAMUS : Mm hmm. Que faisiez-vous?

 

EVELINE : J'ai une formation d'avocate. J'étais dans le milieu universitaire. J’enseignais et je faisais de la recherche.

 

ADAMUS : Ok. Très intelligente, hein ?

 

EVELINE : (rires) Ouais, un peu hors du commun apparemment.

 

ADAMUS : Ouais. Et cela peut fonctionner pour vous. Cela peut également jouer contre vous.

 

EVELINE : Oui.

 

ADAMUS : Ouais.

 

EVELINE : Ouais, les voix dans ma tête sont une cacophonie que j'ai essayé de… (elle soupire)

 

ADAMUS : Ouais. Donc que faites-vous? Quel outil proposeriez-vous pour le tableau des Shaumbra, de faire quelque chose de nouveau ?

 

EVELINE : Récemment, j'ai commencé à faire quelque chose où il n'y a pas d'argent en jeu, et ça me semble étonnamment bien, ça m’a fait du bien, et ça semble me sortir du jeu de l'argent.

 

ADAMUS : Mm hmm. Ok.

 

189

 

EVELINE : Et donc je me demandais si la gravité était particulièrement présente dans certains aspects de nos vies, comme peut-être les jeux vidéo ou la télévision.

 

ADAMUS : Bien.

 

EVELINE : Des choses qui donnent vraiment l'impression d'avoir une aspiration/une succion. Et pour moi, l’argent, je suppose, donne l’impression d’avoir une aspiration, ou du moins une partie de…

 

ADAMUS : Oh, formidable.

 

EVELINE : … la façon dont nous gérons /traitons l’argent a de l'aspiration.

 

ADAMUS : Des quantités énormes. Ouais.

 

EVELINE : Donc, si je ne suis pas là-dedans, alors je ne ressens pas cette aspiration.

 

ADAMUS : Ok. Quel serait l'exemple d'une situation où ce n'est pas le cas?

 

EVELINE : Donc, ce que j'ai commencé à faire, ce sont des câlins gratuits.

 

ADAMUS : Des câlins gratuits ? Ok.

 

EVELINE : Ouais. Alors, j’ai peint une jolie pancarte qui dit « Câlins gratuits » et je suis allée dans différents endroits.

 

190

 

ADAMUS : Avez-vous été arrêtée ? (ils rient)

 

EVELINE : Non, mais la sécurité m'a demandé une fois de partir.

 

ADAMUS : Oh, vraiment ?!

 

EVELINE : Oui (elle rit).

 

ADAMUS : Où était-ce ?

 

EVELINE : Parce que mon âme semblait me pousser à aller faire ça dans les hôpitaux, et j'étais un peu hésitante.

 

ADAMUS : Bien, bien.

 

EVELINE : C'est comme : « Vraiment ? Tu veux que j’aille me tenir dans le hall d’un hôpital avec ma pancarte.

 

ADAMUS : Bien, bien.

 

EVELINE : Mais cela avait un sens parce que je me suis dit qu'il y avait des gens là-bas qui pourraient vraiment en avoir besoin.

 

ADAMUS : Oui.

 

EVELINE : Alors, je l'ai fait.

 

ADAMUS : Ouais.

 

191

 

EVELINE : Et au bout d'un moment, j'ai pu voir la sécurité devenir nerveuse.

 

ADAMUS : Maintenant, cela semble amusant.

 

EVELINE : C'est vrai !

 

ADAMUS : C'était un peu fou.

 

EVELINE : C'était le cas. Ouais.

 

ADAMUS : Ouais.

 

EVELINE : C’était vraiment le cas. Et les réactions des gens sont étonnantes/ incroyables. Et cela ressemble à un échange d’énergie beaucoup plus équilibré que de faire quelque chose et d’être payé.

 

ADAMUS : Oui. Que diriez-vous de « Câlins gratuits », puis, dans le coin inférieur, de « Bisous, un dollar » ? (quelques rires)

 

EVELINE : Non, merci.

 

ADAMUS : Nous n'irons pas plus loin.

 

EVELINE : C'est une question de limite. Je ne vais pas… (elle rit)

 

192

 

ADAMUS : Non, je veux dire, c'est merveilleux, en fait.  C'est drôle, c'est fou et ça défie la gravité. Cela dit : « Je ne vais pas rester coincée dans le « Eh bien, je ne peux pas aller faire des câlins ». » L'avez-vous essayé à l'aéroport ?

 

EVELINE : Oui, j'en ai envie. Je vais le faire. C'est juste que là-bas, c'est un peu trop mouvementé.

 

ADAMUS : Bien.

 

EVELINE : Mais la semaine dernière j'étais à Paris, et je l'ai fait devant Notre Dame.

 

ADAMUS : Oh, bien. Ouais, ouais.

 

EVELINE : Donc, c'était amusant (elle rit).

 

ADAMUS : Combien en avez-vous donné?

 

EVELINE : C'est en fait la seule fois où j'ai compté, parce que je n'ai pas compté. Parce que ce n'est pas une question de nombre pour moi.

 

ADAMUS : Bien sûr.

 

EVELINE : Mais en fait, ma fille m'a demandé – elle était avec moi – «Peux-tu compter aujourd'hui, maman ? »

 

ADAMUS : Bien.

 

EVELINE : Et je pense qu'il y a eu 13 personnes en 20 minutes environ.

 

ADAMUS : Waouh. Ouah! Alors, qu’avez-vous appris – c’est fascinant. Qu’avez-vous appris de cette expérience ?

 

193

 

EVELINE : Tout d'abord, ce n'est pas une question de nombre. Il s'agit de moi qui suis là.

 

ADAMUS : Oui.

 

EVELINE : Donc, il y a eu une fois où personne n'a répondu, et j'ai réalisé que je m'en fichais.

 

ADAMUS : Bien.

 

EVELINE : Et c'était très important pour moi.

 

ADAMUS : Je veux dire, pour certaines personnes, c'est un peu bizarre. Je veux dire, quelqu'un qui se tient là avec une pancarte, vous savez, parce qu'ils pensent qu'ils vont se faire agresser (elle rit). Vous savez, vous leur faites un câlin – schffft ! schffff ! – vous savez, vous lui prenez le portefeuille.

 

EVELINE : Ouais, ou je supplie, ou c'est un signe de protestation ou quelque chose du genre.

 

ADAMUS : Bien. Bien. Ouais. Aviez-vous une belle pancarte ou juste une pancarte en carton brut ?

 

EVELINE : Maintenant que je voyage, j'ai un peu plus un truc du genre « en déplacement ».

 

ADAMUS : Bien, bien.

 

EVELINE : J'ai quand même dessiné de belles choses dessus. Chez moi, j'en ai une qui est peinte avec de jolies couleurs.

 

ADAMUS : Ouais.

 

EVELINE : Mais j'adore regarder les réactions des gens.

 

194

 

ADAMUS : Ouais. Oh, ça doit être fascinant. Et en fin de compte, tout le monde veut ça, mais ensuite leur gravité, leurs doutes apparaissent : « Qu'est-ce que… est-ce – comment appelez-vous ça – un Moonie, un fou religieux qui se tient là, un Témoin de Jéhovah, des câlins gratuits, vous savez ? Mais pas de sang. » Et puis, ils posent des questions, et leurs trucs se déclenchent. Mais vous savez quoi? Tout le monde le veut vraiment.

 

EVELINE : Et au moins des conversations intéressantes, parce que le responsable de la sécurité est venu me dire que ce n'était pas souhaitable à l'hôpital (ils rient).

 

ADAMUS : C'est une belle façon de le dire !

 

EVELINE : Je lui ai demandé : « Vous le pensez, ou est-ce votre patron qui le pense ? Et si votre patron le pense, pourquoi n'est-il pas là pour discuter avec moi ?

 

ADAMUS : « Pourrais-je embrasser votre patron ? » Bien.

 

195

 

EVELINE : Eh bien, j'ai fini par serrer la police dans mes bras à un moment donné. C'était amusant (elle rit).

 

ADAMUS : Ouais, ouais. Mais – Cauldre me dit – mais il dit : « Cela pourrait avoir un succès retentissant sur » – comment appelez-vous cela – « les médias sociaux ». Vous savez, l'expérience de simplement sortir avec votre pancarte et d'observer les réactions. Certaines personnes diront : « Whoa, quel cinglée. » D’autres personnes auront presque désespérément besoin d’un câlin. Tout le monde veut vraiment un câlin.

 

EVELINE : Ouais.

 

ADAMUS : C'est génial. Oh, poursuivez ça.

 

EVELINE : Est-ce que Cauldre serait d'accord si je vous faisais un câlin ?

 

ADAMUS : Bien sûr. Mais embrasse-le aussi (Adamus rit).

 

EVELINE : Eh bien, c'est son corps. Je ne veux pas présumer.

 

ADAMUS : Nous allons – monter sur scène.

 

EVELINE : Oh, mon Dieu. Merci.

 

198

 

ADAMUS : Nous allons voir comment – ​​ok, vous jouez le rôle de vous, debout là avec votre pancarte. Un jour, je vais jouer le rôle d'un humain qui passe dans la rue (quelques rires, alors qu'Adamus commence à jouer le rôle, la voit lui faire signe et la serre dans ses bras ; le public dit « Aww » et quelques applaudissements).

 

EVELINE : Merci.

 

ADAMUS : Vous faites un bon câlin. Êtes-vous allée à l'école des câlins ?

 

EVELINE : Oui ! La mienne.

 

ADAMUS : C'est un art. Faire des câlins est un art, vous savez. Est-ce que vous pouvez, à ce moment-là, vous ouvrir ? Ce n'est pas juste une chose physique, mais  la question est : pouvez-vous avoir un transfert d'énergie à ce moment-là ? Et vous l'avez fait. Ouais.

 

EVELINE : Merci pour tout.

 

196

 

ADAMUS : Ouais. Oh, merci (quelqu'un crie « Un baiser pour un dollar ! ») Un baiser pour un dollar ! (Adamus rit). Ok. Un de plus. Un de plus. Oui, Andy.

 

ANDY : Le sens de l'humour.

 

ADAMUS : Le sens de l'humour. Cela aide (Linda commence à applaudir, quelques-uns se joignent à eux).

 

ANDY : J'ai eu beaucoup de chance en riant des choses.

 

ADAMUS : Ouais. Ça marche.

 

ANDY : Ça marche, parce que les gens font des choses stupides. Soi-même inclus.

 

ADAMUS : Bien sûr.

 

ANDY : Mais si vous avez un bon sens de l'humour et que vous pouvez rire même avec une jambe cassée ou autre, cela aide vraiment à alléger les choses.

 

ADAMUS : Particulièrement quand vous pouvez avoir le sens de l'humour sur vous-même, les gens adorent ça. Non pas pour se dévaloriser, mais pour être capable de rire de ses propres faiblesses : « Vous savez, je suis un humain, et nous allons en rire», parce que sinon vous devenez sérieux et vous pouvez ressentir cette gravité. Vous devenez trop sérieux avec vous-même et vous sentez que cela vous aspire. Vous riez et cela a tendance à ouvrir.

 

199

 

ANDY : Ouais. J'ai eu de la chance avec ça.

 

ADAMUS : Ouais, ouais. Et les gens autour de vous apprécient-ils ce sens de l’humour ?

 

ANDY : Certains oui. D’autres non.

 

ADAMUS : D’autres non. Et votre partenaire ?

 

ANDY : Eh bien…

 

ADAMUS : Ouais.

 

ANDY : … elle s'habitue (il rit).

 

ADAMUS : Ça fait combien de temps ?

 

ANDY : Quoi ?

 

ADAMUS : Depuis combien de temps êtes-vous avec votre partenaire ?

 

ANDY : Quarante-sept ans (rires).

 

ADAMUS : (rires) Et elle s'y habitue ?! Maintenant, c'est drôle. C'est drôle. Ouais!

 

ANDY : Ouais !

 

202

 

ADAMUS : Combien de temps pensez-vous qu'il lui faudra avant qu'elle ne l'accepte pleinement ?

 

ANDY : Eh bien, vous savez, cela me traverse l'esprit.

 

ADAMUS : Ouais !

 

ANDY : Je veux dire, est-ce que quelqu'un d'autre va réellement changer ? Qui sait.

 

ADAMUS : Et si vous lui jouiez un tour et que pendant une semaine vous n'aviez aucun sens de l'humour ?

 

ANDY : Oh.

 

ADAMUS : Juste un visage impassible. Rien n'est drôle.

 

ANDY : Ce serait comme au bon vieux temps, lorsque je dirigeais l'entreprise et que nous faisions toutes les choses sérieuses.

 

ADAMUS : Bien. Bien.

 

ANDY : J'imagine que je pourrais essayer.

 

ADAMUS : Ouais.

 

200

 

ANDY : Je ne sais pas si je pourrais faire ça.

 

ADAMUS : Je ne pense pas que vous puissiez le faire. Je pense que vous partiriez n'importe quand et vous vous effondreriez.

 

ANDY : Ouais.

 

ADAMUS : Ouais, ouais.

 

ANDY : Je pense que j'ai dépassé ça.

 

ADAMUS : Non, l'humour est bon. En fait, tout cela est bon sur le tableau. Merci, d'ailleurs.

 

ANDY : Merci.

 

ADAMUS : Tout cela est bon sur le tableau. Et j'y ai vraiment réfléchi, oh, et j'en ai discuté avec certains des autres Maîtres Ascensionnés, et j'ai passé beaucoup de temps à jeter un coup d'œil sur beaucoup d'entre vous, à y jeter un œil. Qu'est-ce qu'on fait? Que faisons-nous – je veux dire, tout cela est bien – mais qu’allons-nous faire pour ne pas nous coincer encore plus ? Qu'allons-nous faire de simple et efficace ? Pour que cela ne devienne pas fou ? Pour que ce ne soit pas juste un autre exercice ?

 

Au fait, je suis surpris que la respiration ne soit pas mentionnée ici. La respiration est une bonne chose. Ils s’additionnent tous. Mais j'ai parcouru une liste similaire à celle-ci, qui contenait probablement dix fois plus de choses, et j'ai juste trouvé de la distraction dans beaucoup d'entre elles, des défauts dans certaines d'entre elles, plus de ce genre d'effet de gravité de sables mouvants dans certaines.

 

204

 

Comment pourrons-nous percer simplement, facilement, sans réfléchir, sans travailler sur aucun de ces éléments, sans entrer dans l'esprit/mental - Cauldre ne veut pas que je le dise - mais dans des putains de jeux mentaux, comme la confiance : « Oh, j'ai confiance en moi. » Tout ce que vous dites, c'est : « Je n'ai pas confiance en moi et je vais m’enfoncer encore plus profondément dans la gravité. Non, j'ai vraiment confiance en moi. Je veux me faire confiance. » Et la gravité dit : « Hah ! Ce n'est pas le cas, n'est-ce pas ? Ici, laisse-moi t’aider. Laisse-moi t'enfermer encore plus, et ensuite tu seras vraiment frustré. » L'humour, c'est bien, mais peut-on toujours être drôle ? Je veux dire, eh bien, vous le pouvez, Andy.

Mais j'ai vraiment stressé avec ça. Je pense que c'est l'un des plus grands défis que j'ai eu à relever depuis probablement quelques-unes des Écoles de Mystères. Qu'allons-nous faire? Comment allons-nous nous en sortir ? Et je veux que ce soit si simple, si facile, que ce soit comme si vous déployiez vos ailes et que vous planiez sur un beau courant de vent. Je veux dire, que ce soit  aussi simple que ça.

 

205

 

 

La Solution d'Adamus

 

Et puis cela m'est venu à l'esprit. La réponse était déjà là.  J'avais écrit à ce sujet il y a des centaines d'années dans mon livre Time of Machines (Le Temps des Machines). C'était juste là. Et vous, vous dites : « Eh bien, vous êtes un Maître Ascensionné. N’auriez-vous pas dû le savoir tout de suite? Ouais, j'ai aussi été humain, alors j'emporte parfois un peu de ça avec moi. Mais j'ai réalisé que c'était juste là.

 

Je suis revenu en courant – je n'avais pas de manuscrit, mais j'ai en quelque sorte remonté à travers les pages imaginaires – juste là. Juste là – dans mon livre, c'était à la page 357, et c'est écrit juste là. Je ne pouvais pas y croire. Il est resté là tout le temps. C'est si facile, et c'est aussi simple que – et vous pourriez rire, ou Andy pourrait rire – de la musique.

De la musique! Je me suis dit : « C'est ça. »

 

Maintenant, pas n’importe quelle musique. Je veux dire, la musique c'est bien, mais vous savez que les choses qui ne sont pas en harmonie avec vous ne vont pas beaucoup vous aider. Mais de la belle musique, et je réalise, bien sûr, que de mon passé de Saint-Germain, j'ai joué de très nombreux instruments – je les maîtrise presque tous – et j'ai réalisé l'importance de la musique dans ma vie.

 

La musique est généralement non mentale en tant qu'auditeur, et vous écoutez de la belle musique et elle vous fait traverser cette épaisseur de gravité comme rien d'autre. Ce n'est pas mental. Vous n'êtes pas obligé d'y travailler. Vous n’avez pas à le répéter comme un mantra. Ce n'est pas une discipline. Avec de la bonne musique, cela vous permet de simplement passer à travers l'ancienne gravité jusqu'à l'aérothéon, dans le flux, le haut et –pas le haut et le bas – mais le flux entrant et sortant de la gravité, en s'ouvrant pour laisser ce qui a été appelé, la matière noire, vous servir, l'autre côté de la gravité. C'est aussi simple que cela : la musique.

 

206

 

Là encore, pas n’importe quelle musique. Cela doit vraiment être approprié pour vous, et la meilleure musique serait celle écrite et interprétée par les Shaumbra. Et pas de musique générée par l’IA, parce que cela va ajouter à la gravité. Et, vous savez, il y a de la belle musique que vous aimerez peut-être, et je suis sûr que vous en avez fait l'expérience. Vous êtes simplement assis là à écouter de la musique et vous vous sentez transporté.

 Mais et si nous créions, avec les musiciens Shaumbra, une musique d'aérothéon appropriée ? Vous l’écouterez juste de temps en temps. Vous n'êtes pas obligé d'avoir un horaire. Vous n'êtes pas obligé d'y travailler. Peut-être que vous respirerez simplement un peu avec et que vous permettrez.

 

J'aime la musique parce que, en tant qu'auditeur, ce n'est pas mental. Les mots sont limités. Les mots sont très, très limités. La musique peut vous ouvrir et vous transporter. Alors, et si nous nous embarquions là-dedans avec les Shaumbra, peut-être avec des musiciens Shaumbra, pour le faire. Mais il faut qu'il y ait juste le bon contact, juste le bon toucher, et qu'on l'utilise.

 

Maintenant, nous allons passer à un exemple tout de suite avec notre merabh. Ce n'est pas de la musique générée par les Shaumbra, mais peut-être pourrez-vous ressentir au fur et à mesure que nous y entrerons, comment la musique peut simplement vous aider à vous étendre au-delà de cette densité, de cette densité, de cette gravité à sens unique dont vous avez fait l'expérience toute votre vie.

 

208

 

 

 

Merabh –  La Gravité à Spectre Complet

 

Alors, mettons un peu de musique tout de suite. Et, encore une fois, ceci n'est pas créé par les Shaumbra, mais cela vous en donnera un avant-goût.

 

(la musique commence)

 

Prenons une bonne respiration profonde.

 

C'est l'année où l'on va aller au-delà de la gravité, ce qui est présent dans de nombreux problèmes et qui a empêché beaucoup d'entre vous de réaliser à quel point vous êtes vraiment grands.

 

Lorsque vous écoutez de la musique, cela peut être non mental, expérientiel, et vous roulez simplement avec la musique. Vous flottez simplement avec.

 

Prenez une bonne inspiration profonde.

 

 (longue pause)

 

209

 

Je ne vais pas dire grand-chose ici, parce que je veux juste que vous en fassiez l'expérience. Faisons le plein de musique.

 

 (longue pause)

 

Vous n’avez rien à faire.

 

(pause)

 

L’Aerotheon, cet autre côté de la gravité, est déjà là.

 

(pause)

 

Il se passe quelque chose de drôle rien qu’en écoutant la beauté de la musique. Tout à coup, vous prenez conscience : « La gravité a bien plus à offrir. »

 

C'est un peu comme ouvrir les rideaux.

 

(pause)

 

210

 

 

La gravité qui retient les choses et la gravité qui les ouvre.

 

(pause)

 

La gravité qui a maintenu bien en place beaucoup de problèmes dans votre vie, très denses.

(pause)

 

Mais en même temps, il y a l’autre côté : l’expansion, l’ouverture. C'est le rôle naturel de la gravité.

 

La Lumière ne veut jamais vous infliger une gravité à sens unique. Elle ne veut jamais vous réprimer. Elle contient, votre lumière contient cet autre côté de la gravité – l’Aérothéon, l’ouverture.

 

Il ne s'agit même pas de s'asseoir et d'écouter de la musique, puis de se concentrer sur ses problèmes, parce que vous ne voulez pas faire cela. Il s'agit simplement de se laisser vivre l'expérience de la gravité qui fonctionne dans tous les sens. La gravité qui fusionne maintient les choses ensemble ; et l'autre côté, l'Aérothéon, qui s'ouvre, qui s'étend.

 

211

 

 

Et dans cet Aérothéon, ça se transforme aussi. Vous pouvez prendre un problème qui a été maintenu pendant longtemps et maintenant le dépasser. Et la beauté, c'est qu'il suffit d'écouter.

 

La musique a des ailes. Parce que ce n'est pas mental, vous ne réfléchissez/ne pensez pas. Vous faites simplement l'expérience. Elle a des ailes et elle ouvre ce rideau.

 

Pouvez-vous imaginer quelque chose d’aussi simple que cela ?

 

Il n’est pas nécessaire d’être philosophe. Il n’est pas nécessaire de souffrir.

 

Vous n'avez pas besoin d'avoir un horaire pour écouter. Il s'agit simplement de prendre une profonde respiration et de laisser la musique vous transporter dans la réalisation de la plénitude, du spectre complet de la gravité.

 

Respirez profondément et écoutez un instant. Laissez-vous expérimenter tout le spectre de la gravité.

 

(longue pause)

 

212

 

J'adore ça parce que tout est naturel. Je veux dire, c'est déjà là. Nous n'avons pas besoin de créer ou de construire l'autre côté de la gravité. Nous n'essayons pas de nous échapper. Nous permettons simplement à la musique de revenir à la Gravité à Spectre Complet.

 

C'était juste là, à la page 357 de mon livre. Hum. J'aurais aimé savoir ça il y a une dizaine d'années, ça vous aurait épargné bien des ennuis, hein ? Et ce qui est bien, c'est que vous n'avez pas besoin d'y travailler.

 

La musique est belle pour commencer. C'est une si belle application de l'énergie.

La musique se propage facilement dans les autres royaumes.  Elle s’écoule facilement vers les autres royaumes.

 

Pas les mots. Les mots restent bloqués dans ce royaume. Mais la musique, ça coule à flot. Et vous pouvez utiliser cette musique et la laisser vous transporter dans la Gravité à Spectre Complet.

 

(pause)

 

213

 

La meilleure – la meilleure – musique sera celle composée par les Shaumbra.

Nous allons travailler là-dessus. Nous travaillerons avec les musiciens qui pourraient être intéressés pour participer à créer une belle musique qui vous permettra de revivre l'expérience de la Gravité à Spectre Complet.

 

La gravité, une force vraiment mal comprise des physiciens. C'est l'une des dynamiques les plus étonnantes. Mais elle a deux faces/deux côtés. Il ne s’agit pas seulement de retenir les choses. Il s’agit d’ouvrir les choses.

 

Chaque fois que la lumière commence son voyage pour vous servir, en créant vos créations, il y a cet élément de gravité qui rend tout cela possible. Mais la gravité qui fonctionne dans les deux sens.

 

Prenez à nouveau un moment pour sentir, chevaucher cette musique et sentir la Gravité à Spectre Complet. Cela a toujours été là.

 

(pause)

 

214

 

Prenons une bonne et profonde respiration ensemble.

 

En 2024, le reste du monde va se concentrer sur l’IA. Nous prendrons un chemin un peu différent. Nous arrivons à la Gravité à Spectre Complet dans votre vie. Pas en théorie, mais dans votre vie. Et puis cela nous amènera à l’Amour 2.0. Ils travaillent main dans la main.

Maintenant, nous allons en dire plus sur cette musique de la Gravité à Spectre Complet. Nous en parlerons davantage. N'en faites pas une discipline. Réalisez simplement que vous pouvez simplement écouter et vous envoler.

 

Prenons une bonne et profonde respiration ensemble. La Gravité à Spectre Complet. Ce qui rassemble, ce qui permet l'expansion.

 

Sur ce, rappelez-vous que tout va bien dans toute la création.

 

Je suis Adamus du Domaine Souverain. Merci.

 

221

 

 

 

 

 

 

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Respiration d’Intégration de Linda

 

 222

 

Et il en est ainsi.

 

S'il vous plaît, ressentez la beauté de ce message pour vous, pour chacun de nous, tant de choses à permettre ici.

 

Pouvez-vous simplement le respirer et ce sera là pour vous.

 

223

 

Ce n'est qu'un début, juste un début.

 

Prenez cette bonne respiration profonde, en restant ouvert à cette expansion, à cette vraie beauté.

 

 

224

 

Respirez-le encore et c’est unique pour chacun de nous, absolument personnel.

 

Respirez avec cela et laissez-le circuler.

 

225

 

Et merci beaucoup d'être ici, d'en faire partie, d'y contribuer en énergie et en paroles.

 

Respirez, respirez pour vous ce bon souffle profond de vie.

 

 

226

 

 

 

*****

 

 

CRIMSON CIRCLE

The Global Affiliation of New Energy Teachers

Affiliation Mondiale Des Enseignants Nouvelle Énergie

www.crimsoncircle.com

 

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Interprétation de Feolla 

feolla.ca@gmail.com    www.quatorzenouvelleenergie.com

 

 

Avec l’aimable participation d’Elyo pour les parties Respiration d’Introduction et Respiration d’Intégration de Linda.

 

 

 

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Adamus® canalisé par Geoffrey Hoppe , assisté par Linda Hoppe

 

Vous pouvez distribuer librement ce texte, dans son entièreté, sur une base non commerciale et gratuite, y compris ces notes. Toutes autres utilisations doivent être approuvées par écrit par Geoffrey Hoppe, Golden, Colorado.

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Toutes les photos sont de Dave Schemel

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11/01/2024
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